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1. Vous arrosez tous les jours
Alors que votre jardin a besoin d’eau, et en abondance, une erreur courante de jardinage de légumes est de supposer que votre jardin doit être arrosé tous les jours. Ne tombez pas dans ce piège ! Non seulement votre jardin deviendra dépendant et nécessiteux, mais vos plantes formeront des racines peu profondes qui ne se portent pas bien en période de sécheresse. Pire, un arrosage excessif peut les faire pourrir ou les rendre improductifs. Arrosez un jour par semaine, mais faites-le en profondeur, en fournissant un peu plus d’eau si cela n’a pas été fourni par les précipitations naturelles. Non seulement votre jardin sera plus sain, mais il sera également plus résistant à la sécheresse.
Astuce : Utilisez les systèmes d’irrigation, même si votre jardin est petit. Installez par exemple, un système d’arrosage au goutte à goutte. Ce système vous permettra de bien maîtriser vos arrosages : ni trop, ni pas assez.
2. Vous ignorez les espaces ombragés
Beaucoup de jardiniers négligent certains coins de leurs jardins, supposant que rien ne peut y pousser, parce que trop ombragés. Erreur ! Vous pouvez utiliser les parties plus sombres de votre potager, à condition de choisir les bonnes plantes.
Astuce : Certains légumes aiment l’ombre : Chou frisé, brocoli et laitue. Ils se développent mieux dans des conditions plus fraîches et plus ombragées et ils vous aideront à remplir les endroits dénudés de votre jardin. En optimisant l’espace, vous multiplierez les récoltes !
3. Vous sur-fertilisez
Vos légumes ont certes, besoin de beaucoup de nutriments pour devenir forts et sains, mais vous ne devriez jamais utiliser d’engrais sans être sûr que votre sol présente réellement une carence. Ajouter plus de substance organique ou minérale n’est pas une garantie que vos cultures pousseront mieux. Les plantes n’absorbent les nutriments que lorsqu’elles en ont besoin. Certains engrais mettent plusieurs mois à pénétrer le sol et une fertilisation excessive peut même entraîner des carences !
Astuce : Par conséquent, ne fertilisez que lorsque vous êtes certain que votre sol est déficient. Dans le doute, effectuez une analyse de votre terre avant d’envisager d’utiliser divers engrais.
4. Vous utilisez des engrais synthétiques
Tous les engrais ne sont pas conçus de la même manière. Certains sont issus de substances transformées chimiquement. N’utilisez jamais des engrais synthétiques car ils contiennent des produits chimiques nocifs pour vos plantes. Plutôt que d’utiliser des produits toxiques, mélangez votre propre compost pour un jardin plus sain et plus respectueux de la nature. Les engrais naturels ajoutent non seulement des éléments nutritifs, mais renforcent le sol au lieu de l’épuiser.
Astuce : Installez votre propre bac à compost, la structure est simplissime. C’est tellement plus amusant de le bricoler vous-même !
5. Vous utilisez des pesticides
L’utilisation de pesticides est un non-sens dans le potager et ce, pour plusieurs raisons. Les pesticides peuvent non seulement mettre vos plantes en danger en tuant les insectes bénéfiques dont votre jardin a besoin pour être en bonne santé, mais ils peuvent également tuer les pollinisateurs.
Astuce : Adoptez des méthodes plus respectueuses de la nature telles que l’utilisation de plantes compagnes. Vous pouvez également utiliser des pesticides naturels, comme le vinaigre et la terre de diatomées, pour éloigner les ravageurs nuisibles.
Celui-ci devrait vous dérouter au premier coup d’œil. N’êtes-vous pas censé planter dans le sol ? Ne laissez pas votre sol à nu. En effet, la terre arable de surface, riche en humus et en nutriments aura tendance à s’éroder avec le vent, le gel et le lessivage causé par la pluie. Alors plutôt que de laisser le sol nu tout l’hiver, protégez-le grâce à une couverture végétale ou un paillage, et prenez le temps d’amender votre sol avec de la matière organique. Votre terre sera plus saine, fertile et prête pour de nouvelles cultures. Utilisez un peu de compost quelques mois avant de planter. Sous l’action des bactéries, progressivement incorporées au sol par les vers de terre et la microfaune, le sol deviendra plus meuble et plus fertile. Conséquence : vous obtiendrez une productivité accrue la saison suivante !
Astuce : Pour ne pas laisser votre sol à nu, semez un engrais vert, par exemple la moutarde, la phacélie, le trèfle, le vesce en fin d’hiver ou encore l’avoine.
6. Vous plantez toutes vos graines à la même profondeur
Vous devez déterminer à quelle profondeur vos graines doivent être plantées en regardant les graines elles-mêmes : leur taille est un bon indicateur. Plus la graine est petite, plus elle doit être semée de manière superficielle.
Planter les graines peu profondément peut les faire sécher avant qu’elles ne poussent. Planter trop profondément et elles risquent de ne pas recevoir la lumière du soleil, l’eau ou les nutriments dont ils ont besoin pour germer.
Astuces : Si vous ne savez pas à quelle profondeur planter, vérifiez tout simplement le paquet de graines pour obtenir des directives
7. Vos plants sont en surpeuplement
C’est la crise du logement dans votre potager ! Il peut être tentant de planter les semis en rangées serrées, en particulier lorsqu’ils sont petits et n’ont pas encore atteint leur taille adulte. Mais en les plantant trop près les uns des autres, ils rivaliseront pour l’eau, la lumière du soleil et les nutriments.
Lors du semis de vos graines ou de la transplantation de vos plants, il est essentiel de prendre en compte l’espacement entre eux.
Astuces : Pensez systématiquement à la taille adulte de la plante. Même si tous vos repiquages ne survivront pas (et toutes vos graines ne germeront pas nécessairement), gardez à l’esprit que vos plantes vont grandir.
8. Vous avez vu « Grand »
Evitez de commencer avec une parcelle immense. En voyant trop grand, vous serez vite submergé par les nombreuses tâches telles que le bêchage, le désherbage, l’arrosage et la gestion des maladies et des ravageurs, dont les contraintes seront proportionnelles à la taille du potager.
Au lieu de cela, commencez « petit » : choisissez une zone plus restreinte. Choisissez des plantes faciles à cultiver comme la laitue, les tomates et les haricots verts. Au fur et à mesure que vous gagnerez en expérience, vous pourrez vous aventurer sur des légumes plus difficiles comme le brocoli ou le chou-rave.
Astuces : Si vous êtes tenté de planter beaucoup de variétés, découvrez la culture à la verticale. La Garden Tower vous permet de planter plusieurs légumes et fruits en hauteur et dans un seul récipient.
9. Vous plantez trop tôt ou trop tard
Pressés et volontaires, beaucoup de jardiniers amateurs commencent leurs plantations trop tôt en saison. Il est impératif d’attendre que le temps se réchauffe. Assurez-vous que vos plants restent protégés jusqu’à ce que les températures nocturnes soient douces. À moins que vous ne cultiviez en serre.
Astuce : Si la température peut encore descendre en dessous de zéro, évitez de planter des cultures fragiles comme les concombres, les melons ou les tomates.
10. Vous ignorez les mauvaises herbes
Ne laissez pas les mauvaises herbes prendre le dessus ! Ces dernières peuvent facilement étouffer vos cultures et pomper les nutriments et l’humidité destinés à vos plantations. De plus, certains types de graines de mauvaises herbes peuvent rester dormantes dans le sol pendant des décennies, produisant des centaines de milliers de graines par plante… C’est pourquoi il est essentiel d’éliminer les mauvaises herbes dès que vous les voyez.
Astuce : Utilisez du paillis ou posez des cartons, un tapis sur le sol : seules manières efficaces de prendre le dessus sur les mauvaises herbes. N’utilisez jamais d’herbicides chimiques dans votre jardin potager.
Assurez-vous de prendre le temps de soutenir les plantes les plus lourdes dans votre potager. Il y a plusieurs types de cultures, comme les haricots blancs et les tomates, qui s’épuiseront s’ils ne sont pas tuteurés ou palissés à mesure qu’ils grossissent. Les tomates poussent bien dans des cages spécialement conçues pour elles, tandis que les haricots blancs doivent être cultivés sur un treillis.
Quelles que soient vos préférences, assurez-vous simplement de donner à vos plantes le soutien dont elles ont besoin dans un potager. Sinon, l’air ne pourra pas circuler et vos plantes ne seront pas saines et productives.
Astuce : N’hésitez pas à fabriquer vos propres supports en utilisant ce qu’offre la nature : branches, bambou…
11. Vous compostez n’importe quoi…
Vous avez donc commencé un tas de compost – bravo ! L’ajout de compost à votre sol est l’un des meilleurs moyens d’augmenter la matière organique et d’améliorer la productivité de votre parcelle de potager.
Cependant, vous ne pouvez pas ajouter n’importe quel ingrédient à votre bac. Ces apports audacieux n’amélioreront pas votre compost, pire, il peut lui nuire en apportant des agents pathogènes et en attirant les ravageurs. A proscrire : déchets d’animaux, chutes de viande et os, graisse et huile, plantes malades, mauvaises herbes avec leurs graines, feuilles vernissées (lierre, laurier), lisserons et plantes rampantes, résineux, tout bois traité avec des produits chimiques, produits laitiers, papier glacé, sciure, coquilles de noix (elles contiennent des produits chimiques allopathiques qui peuvent inhiber la croissance des plantes), charbon de barbecue, mégots de cigarettes, poussière d’aspirateur et tous les matériaux non biodégradables…
Astuce : Si vous décidez de créer votre propre compost, assurez-vous de consulter la liste complète des éléments que vous pouvez et ne pouvez pas composter sur le site de la SMND
12. Vous ne tenez pas compte du climat
Il est important que vous teniez compte de votre zone climatique lorsque vous plantez votre jardin. Trop de gens commencent un potager en ignorant les conditions de leur climat local. Vous ne pouvez pas faire pousser de plantes tropicales dans une zone froide, alors n’essayez pas : Vous finirez par être déçu et vous passerez beaucoup plus de temps, d’énergie et d’argent à essayer d’intégrer ces plantes fragiles dans votre jardin.
N’oubliez pas non plus les conditions uniques qui pourraient affecter votre zone de culture. Vous devez également être attentif à votre microclimat, affecté par des éléments tels que le vent, la lumière du soleil, l’ombre et la topographie.
Astuce : Ne négligez pas la composition de votre sol, cela peut également jouer un rôle majeur dans la réussite de vos cultures.
Portez une attention particulière aux exigences de plantation spécifiques des variétés de plantes que vous avez choisi de cultiver, croyez-le ou non, une tomate n’est pas qu’une tomate. Chaque variété de plante a ses propres exigences et son goût unique. Assurez-vous de choisir les bonnes variétés : celles que vous pourrez faire pousser et, plus important encore, celles que vous aimerez déguster.
Astuce : Taillez les feuilles du bas pour favoriser la croissance et prévenir les maladies. Arrosez uniquement au pied.
13. Vous labourez très régulièrement vos parcelles
Saviez-vous que certains des potagers les plus sains et les plus productifs ont été cultivés dans un sol qui n’a jamais été labouré ? En fait, le travail excessif est l’un des plus gros mauvais services que vous puissiez rendre à votre jardin, car cela nuit à la vie fragile du sol et rend le sol plus compact à long terme. Au lieu de cela, mettez en œuvre un système de jardinage sans labour !
Astuce : Utilisez du paillis et du compostage en feuilles pour créer un espace sain et productif. C’est moins de travail pour vous et mieux pour le sol aussi
14. Vous dépensez sans compter
Il existe de nombreuses façons de cultiver un potager qui ne vous obligent pas à débourser des centaines d’euros ! Il vous suffit de faire preuve de créativité. Plutôt que de dépenser une fortune pour votre nouveau jardin, pour votre nouveau jardin, recherchez des matériaux gratuits comme de la terre, des graines et des contenants de plantation. Réutilisez ce que vous avez et commencez petit pour garder votre budget sous contrôle.
Astuce : Créez des kits de démarrage de semences recyclées avec autant d’articles différents que vous avez déjà sous la main dans votre maison. Il ne faut vraiment pas beaucoup d’argent pour créer un jardin prospère.
15. Vous n’éclaircissez pas vos semis
Il peut être décevant de supprimer les semis que vous venez de planter. Cependant, c’est nécessaire car profitable à vos cultures ! Lorsque vous semez des graines fragiles comme des carottes ou de la laitue, vous devrez peut-être y retourner plus tard et retirer certains des plants qui émergent. Cela permettra aux semis plus forts de former des racines plus profondes sans être encombrés par les autres plants.
Astuce : Vous pouvez utiliser vos éclaircies dans les salades. Ces jeunes pousses sont aussi tendres que savoureuses.
16. Vous n’associez pas les bonnes plantes
Les plantes s’associent entre elles pour se protéger. Certaines espèces vont donc très bien ensemble, c’est le principe du compagnonnage. Outre la lutte contre les insectes, certaines plantes se stimulent entre elles ou sont de véritables alliées pour la biodiversité. Par exemple, la betterave s’accorde avec le céleri, la laitue, les oignons et les radis mais il faut à tout prix les éloigner des carottes et des haricots.
Astuce : voici quelques fruits et légumes à marier… carotte et poireau, maïs, haricot et potiron, pomme de terre hâtive et courge dans le Midi et sur le littoral Atlantique, laitue et chou, radis et carotte, tomate et basilic, chou et cosmos, bourrache et courgette, céleri et poireau, coriandre et oignons, marjolaine et choux, oignon et fraisier…
17. Vous marchez où vous voulez
Une dernière erreur que les gens font dans leurs potagers ? Aller où ils veulent ! L’un des commandements du potager en permaculture est « tu ne piétineras plus ta terre ». En piétinant le sol, vous réduisez l’air à disposition des micro-organismes de première couche et la transformation de matière organique se fait donc beaucoup moins bien.
Astuce : Planifiez votre jardin, créez des allées et autres espaces afin de contourner agréablement votre potager. Ainsi, vous perturberez le moins possible votre zone de culture. De cette façon, vous serez sûr que votre sol ne se compactera pas et pourra continuer à faire son travail efficacement. Armé de ces connaissances, vous avez tout ce dont vous avez besoin pour faire pousser une parcelle productive cette année. Maintenant à vous de jouer !
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