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Suite à l’invasion de l’Ukraine par la Russie il y a quelques jours, l’occident a annoncé un ensemble de mesures visant à pénaliser le pays. Au coeur de ces actions, de nouvelles restrictions concernant l’exportation vers la Russie de certains matériaux et technologies liées à l’aérospatiale.
L’agence spatiale Roscosmos avait alors annoncé mettre en pause l’ensemble des lancements des fusées Soyouz en Guyane, sur le pas de tir de Kourou, mettant ainsi un coup d’arrêt à la mise en orbite des satellites de la constellation Galiléo. Par ailleurs, Moscou rappelait l’ensemble de ses ressortissants travaillant sur le site français en partenariat avec Arianespace.
Dimitri Rogozine est allé jusqu’à rappeler également combien la Station Spatiale Internationale est dépendante de la Russie : ce sont des propulseurs situés sur la section russe de l’ISS qui permettent à la Station de reprendre de l’altitude régulièrement pour conserver son orbite.
Sans l’intervention de la Russie, l’ISS pourrait ainsi quitter son orbite pour venir s’écraser sur Terre. Pire encore, la Russie pourrait choisir quelle zone du globe serait ainsi la cible de cette chute. Rappelons que l’ISS ne survole pas le territoire Russe, mais qu’elle pourrait très bien tomber sur l’Inde ou la Chine pour faire escalader un peu plus le conflit…
En réponse, la NASA a de son côté indiqué continuer à travailler avec ses partenaires internationaux, et que USA et Russie travaillent ensemble “pacifiquement dans l’espace”. Aucun changement n’aurait eu lieu au sein de l’ISS pour le moment.
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