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Pas de sucres ajoutés dans la composition. Ils servent à cacher des tomates trop acides, car non cueillies à maturité. Les ingrédients devraient se limiter à : de la tomate en très grande majorité, un peu de sel et de poivre et éventuellement de l’huile d’olive ou de tournesol vierge. Privilégiez les tomates en provenance d’Italie, pays qui cultive un type de tomate spécifiquement destiné à être transformé en sauce.
Si contrairement à la viande certains plats végétariens n’apportent pas l’entièreté des acides aminés essentiels (qui doivent être obligatoirement apportés par l’alimentation), avec le combo soja et lentilles, c’est chose faite. En plus, les lentilles ont un index glycémique bas et sont riches en fibres ce qui permet une assimilation lente par l’organisme et un sentiment de satiété.
Lorsque vous cuisinez de l’ail, enlevez le germe, ce petit bourgeon présent au centre. C’est lui qui peut rendre la digestion de ce condiment compliqué. Votre estomac vous dira merci !
L’empreinte carbone de ce plat est faible. En effet, l’ensemble des ingrédients sont d’origine végétale et pour rappel, 1kg de viande bovine équivaut à une émission de 27kg de gaz à effet de serre pour 0,5Kg comparativement pour 1kg de carotte. De plus, tous les ingrédients de la recette (en dehors du tofu) peuvent être facilement achetés localement, en circuit court et en vrac si on fait ses courses intelligemment.
Zéro déchet : comment réutiliser les épluchures des carottes ?
Avant toute chose, cette astuce nécessite d’avoir des carottes bio car la peau est la partie la plus exposée aux potentiels traitements. Une fois les épluchures bien lavées et cuites à la vapeur, faites les mariner toute une nuit dans un mélange d’huile d’olive, sauce tamari, jus de citron, sel fumé, aneth et eau. Servez-les sur des blinis avec du yaourt et de l’aneth pour obtenir des toasts 100% végétals façon saumon fumé.