où, quoi et comment en 2022 ?

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Comme bien des secteurs, celui de l’Éducation a été complètement chambardé avec l’apparition du virus de la Covid-19, dans le monde, fin 2019. Deux ans depuis que les systèmes tentent de s’adapter, qu’ils apprennent, sans cesse, à se réinventer afin de ne négliger aucun enfant.

Grand sage qu’il était, Nelson Mandela le disait : « l’Éducation est l’arme la plus puissante que l’on puisse utiliser pour changer le monde… » C’est dire l’importance qu’il faudrait lui accorder !

En conséquence de deux confinements nationaux et d’autres exigences sanitaires ou intempéries, se rendre en cours n’a pas été de tout repos pour les nombreux écoliers, collégiens et autres étudiants à Maurice, cette année.
« Jamais deux sans trois ? A quand le retour de la grande rentrée de janvier ? Les classes : online, présentielle ? Ou, quoi, comment ? »

2021, tire sa révérence et ce sont autant de questions que se posent les Mauriciens à quelques jours seulement de la nouvelle année. Faisons avant tout le point.

Comme annoncé par la ministre Leela Devi Dookun Luchoomun, le 10 décembre dernier, au lendemain de la décision de fermer les établissements scolaires du pays face à une nouvelle flambée de cas de la Covid-19, les classes en lignes seront d’actualité jusqu’au 31 janvier prochain.

Les examens nationaux ont, eux, été décalés de quelques mois, soit de janvier à avril, pour les « Modular Papers » du Primary School Achievement Certificate (PSAC), tandis qu’il est prévu que les épreuves de Cambridge – School Certificate (SC) et du Higher School Certificate (HSC) – se tiennent aux dates initiales.

Les classes en présentiel, pour les élèves du secondaire, reprendront, elles, à partir du mercredi 2 février 2022. En juin, pour ceux du cycle primaire.

Il est bon de préciser qu’avec l’émergence d’Omicron en cette fin d’année, tout indique qu’en 2022 il faudra encore aller à l’école sous « d’autres nouvelles » normalités et comme les deux dernières années écoulées, s’habituer aux caprices et changements d’humeur du coronavirus.

D’ailleurs, les professionnels, avouent. « On se laisse un peu guider ! » Puis, cette question qui revient systématiquement : « Pourquoi ne pas remettre la grande rentrée, comme avant, en janvier ? »

D’emblée, Vinod Seegum, Président de la Government Teachers Union (GTU), explique que faire une telle chose nuira à l’enfant, car il « perdra » une année entière. Il faudrait, vraisemblablement, oublier cette possibilité, car tout a déjà été préparé pour que les écoles primaires, au moins, reprennent du service en juin, cette année, encore.

Vinod Seegum concède, cependant, que plusieurs solutions pourront être trouvées à l’avenir avant de préciser que pour le moment l’importance est de veiller à ce qu’il n’y ait pas de gros décrochage du côté des principaux concernés, à savoir, élèves et enseignants.
Pour conclure, les acteurs du milieu sont unanimes. « Des leçons ont, fort heureusement, été tirées de la pandémie. Certes, les défis guettent, mais des solutions, provisoires ou pas, sont trouvées pour que personne ne soit impactée. »

Alors, aussi incertaine qu’elle s’annonce, 2022, sera, on l’espère, meilleure pour le secteur éducatif. Enfin, jusqu’aux prochaines surprises…

À Inside News, l’on vous souhaite, tout de même, de ne jamais arrêter d’essayer et surtout de toujours briller !

Éducation : où, quoi et comment en 2022 ?

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