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Emmanuel Macron et Idriss Déby Itno, à N’Djamena, le 23 décembre 2018. © Witt/SIPA
Avant d’accepter d’engager l’aviation française dans des frappes contre les rebelles de l’UFR en territoire tchadien, Emmanuel Macron a sollicité d’Idriss Déby Itno une lettre lui permettant d’avoir « une base légale suffisante » pour mener l’opération.
Avant que, le 3 février, l’aviation française frappe les rebelles de l’Union des forces de la résistance (UFR) dans le nord-est du Tchad, les présidents Idriss Déby Itno (IDI) et Emmanuel Macron avaient échangé plusieurs coups de téléphone.
>>> A LIRE – Tchad : pilonnée par l’aviation française, l’UFR affirme continuer à progresser vers N’Djamena
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