Comment la Renaissance Disney a changé les princesses Disney pour le pire

La Renaissance Disney a apporté quelques changements aux princesses Disney, et ils n’étaient pas bons. Voici ce qui s’est passé et ce qui n’a pas fonctionné.

Même si Princesses Disney ont beaucoup de choses en commun, il y a de grandes différences marquées par la Renaissance Disney qui ont aggravé leurs histoires. Walt Disney Pictures est une centrale électrique dans le monde du divertissement grâce à sa variété d’histoires et de styles qui sont normalement chargés de leçons de morale, et bien que le studio explore divers genres depuis des décennies, il est toujours mieux connu pour ses fonctionnalités animées – et hors de ceux-là, il y a le groupe exclusif des princesses Disney.

Disney est également bien connu pour ses films d’animation avec des personnages féminins en tête, et beaucoup d’entre eux font partie de la franchise Disney Princess, mais toutes les protagonistes féminines ne peuvent pas faire partie de ce groupe. Tout a commencé en 1937 avec Blanche-Neige et les sept nains, le premier long métrage d’animation traditionnel et le premier film d’animation de Disney, après quoi beaucoup d’autres ont suivi, avec la franchise Disney Princess désormais formée par Cendrillon, Aurora, Ariel, Belle, Jasmine, Pocahontas, Mulan, Tiana, Raiponce, Merida, et Moana, et bien qu’ils partagent certaines caractéristiques, il existe des différences entre ceux publiés avant et après la période connue sous le nom de Disney Renaissance.

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La Renaissance de Disney est la période entre 1989 et 1999 au cours de laquelle le studio a de nouveau produit des films d’animation à succès critique et commercial après quelques échecs. Disney a revisité des histoires bien connues comme il l’a fait pour ses films sortis entre les années 1930 et 1960, et ces nouvelles aventures animées ont rapporté beaucoup plus de bénéfices que la plupart des films des époques précédentes de Disney. Au cours de cette période, cinq films qui font désormais partie de la franchise Disney Princess sont sortis: La petite Sirène (1989), La belle et la Bête (1991), Aladdin (1992), Pocahontas (1995), et Mulan (1998). Bien qu’ils soient tous royaux (ou, en Le cas de Mulan, a fait un acte héroïque), ont des compagnons animaux et au moins un numéro musical, ils sont différents de leurs prédécesseurs car leurs films accordent plus d’attention aux personnages masculins et diminuent les interactions entre les personnages féminins.

D’après les recherches des linguistes Carmen Fought et Karen Eisenhauer (via Le Washington Post et Cosmopolite), dans les films Disney Princess sortis pendant la Renaissance Disney, les hommes parlent plus que les femmes, même dans les films où ils sont les principaux (Aladdin, par exemple, est justifiée car le caractère du titre est le plomb, pas Jasmine): dans La petite Sirène, les hommes parlent 68% du temps, en Pocahontas c’est 76%, et en Mulan c’est 77%, alors que dans Blanc comme neige c’était 50-50, Cendrillon 60-40, et dans La belle au bois dormant c’est 71%. Selon Fought, cela est dû au fait que ces histoires manquent de représentation des femmes dans différents rôles – par exemple, dans La belle et la bête, il y a “pas de femmes conduisant les citadins à aller contre la bête», Pas de femmes de la taverne chantant ensemble des chansons à boire (les seules sont les trois femmes qui suivent toujours Gaston), ni de femmes qui inventent des choses. Eisenhauer a ajouté que la cause de ceci est probablement la négligence, car “nous sommes tellement entraînés à penser que l’homme est la norme», Donc tout personnage que les écrivains devaient ajouter serait souvent un homme.

Quelque chose qui n’a pas changé, cependant, c’est la façon dont la motivation principale des personnages féminins (dans la plupart des cas, du moins) est de trouver un mari, et comment leurs histoires sont guidées par un personnage masculin, bien que cela soit aggravé par le fait d’avoir un homme. les personnages parlent plus que les femmes. Heureusement, cela a changé avec l’arrivée de Tiana, Raiponce, Mérida et Moana, ses protagonistes ayant repris le contrôle grâce, dans certains cas, à des femmes chargées d’écrire leurs histoires, ce qui a donné à certaines d’entre elles plus de pouvoir. Il convient cependant de noter que La princesse et la grenouille a toujours un problème avec les personnages masculins dépassant le rôle principal féminin, mais les motivations de Tiana étaient complètement différentes de celles du précédent Princesses Disney, car son objectif principal était d’ouvrir son propre restaurant, pas de trouver un mari. Disney a encore beaucoup de travail à faire pour représenter des personnages féminins, mais il semble qu’il soit enfin sur la bonne voie.

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