Un film édifiant qui ne dépasse pas les prémisses de base

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Le film tente de livrer une histoire émouvante, convaincante et divertissante, mais il a du mal à l’équilibre malgré quelques moments charmants et édifiants.

Les films sur les chevaux de course ne sont pas nouveaux, mais Cheval de rêve essaie de faire quelque chose de différent avec le matériau en déplaçant l’attention du cheval et de son cavalier vers ses propriétaires et la vie que le cheval (affectueusement nommée Dream Alliance) rapporte à la communauté. Réalisé par Euros Lyn à partir d’un scénario de Neil McKay, Cheval de rêve est basé sur une histoire vraie qui est à la fois réconfortante, mais qui est aussi une tâche à accomplir. Le film tente de livrer une histoire émouvante, convaincante et divertissante, mais il a du mal à l’équilibre malgré quelques moments charmants et édifiants.

Le film, qui se déroule au Pays de Galles, suit Jan (Toni Collette), une caissière d’âge moyen qui est au point mort dans sa vie. Elle est coincée dans le même travail qu’elle a eu pendant des années et a perdu toute joie de vivre. Ce n’est pas seulement elle non plus. Son mari Brian (Owen Teale) passe la majorité de son temps garé devant la télévision, enregistrant à peine tout ce que Jan dit ou fait, à l’écoute des détails quotidiens de la vie. Lorsque Jan décide d’élever un cheval de course, entendant une conversation au bar et encouragée par son élevage réussi de pigeons à l’adolescence, elle fait appel au comptable Howard (Damian Lewis) pour en rassembler quelques-uns dans la communauté qui seraient prêts à le faire. rejoignez cet ambitieux effort. Dream Alliance finit par leur fournir plus qu’une ambition financière, mais une énergie qui était auparavant perdue.

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examen du cheval de rêve

Toni Collette et Owen Teale dans Dream Horse

Cheval de rêve ne réinvente pas le film sportif ou quoi que ce soit, mais il ne vise pas à le faire. Le film est une histoire agréable et agréable, qui prend tout son sens quand elle se concentre sur Jan, Howard et la communauté qui se sont réunis pour financer et soutenir Dream Alliance, symbole de libération de leur vie mondaine. Leur histoire résonne parce que leurs raisons de relever un tel défi (sachant qu’ils n’en tireront peut-être rien mais une perte financière) sont douloureusement familières. Le film passe beaucoup de temps à établir que Jan et son entourage sont dans une impasse dans leur vie. Jan travaille à un travail qui ne lui apporte rien d’autre que le désespoir, s’occupant de parents vieillissants qui critiquent encore leur chemin à travers les décisions de sa vie.

Pour eux et pour les autres, Jan est un échec, misérable, parcourant le quotidien avec peu d’intérêt et zéro étincelle. C’est un sentiment que tout le monde a sûrement rencontré dans la vie à un moment ou à un autre, travaillant peut-être sans but ou perdant son intérêt et sa curiosité pour les choses qui ont autrefois apporté de l’excitation et un sens du but. À cette fin, Cheval de rêve fait un bon travail en mettant en valeur les façons dont Dream Alliance redonne un sens de vie et d’ambition à Jan et revitalise la communauté dans son ensemble. Regarder leurs réactions excitées apporte des touches réconfortantes au film et il est facile d’être tout aussi ravi et triste des résultats des succès et des pertes de Dream Alliance qui se produisent tout au long.

examen du cheval de rêve

Owen Teale, Toni Collette et Damian Lewis dans Dream Horse

Toni Collette est, comme toujours, engageante à regarder et sa performance ici élève Cheval de rêve, transformant des moments médiocres en battements émotionnels émouvants. Le reste de la camaraderie et de la chimie du casting est également charmant, ajoutant des couches à des scènes qui seraient autrement tombées à plat. Tout cela dit, Cheval de rêve est gonflé, souvent lent et ennuyeux. Le film frappe tous ses moments clés comme s’ils figuraient sur une liste de contrôle, ce qui ne favorise ni l’histoire ni les personnages. Avec sa narration à la volée, il n’y a pas grand chose qui suscite l’enthousiasme Il y a beaucoup de moments qui auraient pu creuser plus profondément, y compris une exploration plus approfondie de l’intériorité de Jan. Elle parle de perte, mais Cheval de rêve effleure à peine le sujet avant de passer à la chose suivante. Dans cette veine, le film est beaucoup moins intéressant en raison de sa construction maladroite et lente.

Cheval de rêve a pas mal de belles scènes et une ligne émotionnelle, mais il ne dépasse jamais son exécution quelque peu décousue et son rythme lent pour offrir quelque chose de vraiment intéressant. Le film est rehaussé par son formidable casting, avec leur développement et les raisons pour lesquelles ils ont placé Dream Alliance au cœur de l’histoire. Mais lorsque même la tension qui vient, une fois d’une blessure qui pourrait potentiellement nuire aux chances de Dream Alliance dans la course, semble au mieux inférieure à la moyenne, il devient difficile de rester engagé avec le matériel.

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Cheval de rêve est actuellement en salle et sera disponible sur demande le 11 juin 2021. Le film dure 113 minutes et est classé PG pour ses éléments linguistiques et thématiques.

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Notre note:

2,5 sur 5 (assez bien)

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