et pourtant, il y a du business… – Jeune Afrique

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Des étudiantes de iEARN Maroc brandissent leur drapeau aux côtés d’enseignantes de iEARN Algérie lors de la nuit de la culture, en juillet 2017.

Des étudiantes de iEARN Maroc brandissent leur drapeau aux côtés d’enseignantes de iEARN Algérie lors de la nuit de la culture, en juillet 2017. © iEARN-USA/FLickr/Licence CC

Les relations commerciales entre les rivaux maghrébins dépasse un demi-milliard de dollars par an et impliquent des poids lourds des deux économies. Un signe du gigantesque potentiel à exploiter.


La polémique déclenchée à la mi-mai au sujet de possibles mesures de rétorsion d’Alger contre des acteurs économiques algériens traitant avec leurs homologues marocains a levé le voile sur un secret de polichinelle. Certes, les contacts sont quasiment rompus entre les deux gouvernements, et les échanges commerciaux sont en-dessous de leur niveau optimal au vu de la taille des économies des pays… Mais le business entre le Maroc et l’Algérie a toujours existé.

Il y a à peine cinq ans, l’Algérie était le premier partenaire africain de son voisin marocain, avec des échanges de près de 8,5 milliards de dirhams (environ 793 millions d’euros, à la fin de 2016). Un statut perdu depuis peu au profit de l’Égypte en tant que premier fournisseur africain du Maroc et de la Côte d’Ivoire comme premier marché continental pour les produits marocains.

La variété des produits échangés renseigne sur le potentiel des synergies entre les deux pays

« L’Algérie figure encore comme deuxième partenaire commercial du royaume en Afrique et elle vient à peine de sortir de notre Top 20 mondial », explique une source de l’Office des changes.

Des échanges variés : hydrocarbures, produits chimiques et textiles



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JeuneAfrique

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