[ad_1]
Le mouvement social qui a secoué la cité minière de Jerada, dans l’est du Maroc, a poussé l’État a remettre cette région au centre des préoccupations, de peur de voir naître un écho au Hirak du Rif. Mais la trêve sociale ne sera durable que si les projets industriels continuent d’affluer.
Des mineurs clandestins ensevelis dans des mines de charbon désaffectées et des protestations populaires qui tournent à l’affrontement avec les autorités… C’est ainsi que naît, en 2018, le Hirak [soulèvement] de Jerada.
La cité minière de l’Oriental devient dès lors une préoccupation pour l’État central, qui redoute un remake du Hirak du Rif ; 900 millions de dirhams (82,7 millions d’euros) sont affectés au développement de la région et devraient permettre la création de 3 600 emplois.
Cet article est réservé aux abonnés
Abonnez-vous à partir de 7,99€pour accéder à tous les articles en illimité
Déjà abonné ? Identifiez-vous ›
Vos avantages abonné
- 1. Accèdez en illimité à l’ensemble des articles sur le site et l’application Jeuneafrique.com (iOs & Android)
- 2. Bénéficiez en avant première, 24 heures avant leur parution, de chaque numéro et hors séries Jeune Afrique sur l’application Jeune Afrique Le Magazine (iOS & Android)
- 3. Recevez la newsletter économie quotidienne réservée aux abonnés
- 4. Profitez de 2 ans d’archives de Jeune Afrique en édition numérique
- 5. Abonnement sans engagement de durée avec l’offre mensuelle tacitement renouvelable*
*Service uniquement disponible pour les abonnements à durée libre.
[ad_2]
Source link
Have something to say? Leave a comment: