Spider-Man 3 va vieillir numériquement le Doc Ock d’Alfred Molina

Alfred Molina confirme que le vieillissement numérique sera utilisé pour qu’il puisse à nouveau jouer le méchant Doc Ock dans Spider-Man: No Way Home.

Alfred Molina dit Spider-Man 3 le dé-vieillira numériquement pour jouer à Doc Ock. Cela fait dix-sept ans que Molina a joué pour la première fois à un scientifique devenu supervillain Otto Octavius ​​alias Docteur Octopus chez Sam Raimi Spider-Man 2. Même si Octavius ​​est mort à la fin de ce film, le personnage sera ramené à nouveau pour menacer Peter Parker dans le prochain Spider-Man: pas de retour à la maison.

En fait Molina n’est pas le seul acteur d’un plus âgé Homme araignée série prête à revenir dans Pas de chemin à la maison. Jamie Foxx, qui a joué Electro dans L’incroyable Spider-Man 2, revient également pour jouer à nouveau le même méchant. Il y a également eu des rumeurs selon lesquelles d’anciens acteurs de Peter Parker Tobey Maguire et Andrew Garfield pourrait revenir comme Pas de chemin à la maison embrasse le concept multivers qui s’est avéré si divertissant dans l’animation Spider-Man: dans le Spider-Verse.

En rapport: Spider-Man 3 Theory: Comment le docteur Octopus et Electro reviennent (après leur mort)

Faire un film multivers qui comprend différentes itérations de personnages est assez simple pour être réalisé dans un film d’animation, mais les choses deviennent bien sûr plus difficiles en live-action, surtout si des acteurs plus âgés sont appelés à jouer des versions plus jeunes d’eux-mêmes. C’est là qu’intervient la technologie numérique de vieillissement. S’adressant récemment à Variété, Molina a confirmé que le vieillissement est effectivement utilisé pour qu’il puisse jouer à Doc Ock comme il l’aurait regardé immédiatement après les événements de Spider-Man 2. Molina admet qu’il a exprimé des inquiétudes quant à son âge au réalisateur Jon Watts mais a été rapidement rassuré. “Il m’a juste regardé et a dit: «Avez-vous vu ce que nous avons fait à Bob Downey Jr. et à Sam Jackson?»Se souvient Molina. Mais, le vieillissement a aussi ses limites, comme Molina l’a expliqué, citant Martin Scorsese L’Irlandais:

«Ils ont rajeuni le visage de Robert De Niro, mais quand il se battait, il ressemblait à un homme plus âgé. Il ressemblait à un vieux! C’est ce qui m’inquiétait de recommencer. Je n’ai pas la même physicalité que j’avais il y a 17 ans. C’est juste un fait.

Mais Molina dit qu’il en a un avantage sur Robert De Niro quand il s’agit de dissimuler le fait que son corps n’est pas dans la même forme que lorsqu’il était plus jeune: les tentacules de Doc Ock. Le personnage du docteur Octavius ​​ne pouvait bien sûr pas espérer combattre Spider-Man sans ses tentacules high-tech, qui sont créés pour les films en utilisant CGI. “Je me suis alors rappelé que ce sont les tentacules qui font tout le travail!”Molina a fait part de ses inquiétudes concernant les limitations du vieillissement. Molina a ajouté qu’en jouant le rôle de Doc Ock, il faisait vraiment beaucoup de grimaces effrayantes pendant que “les bras font tout le meurtre, le fracas et le bris. »

Il reste à voir à quel point la technologie de vieillissement est efficace pour donner à Doc Ock de Molina l’apparence d’il y a dix-sept ans. Molina souligne à juste titre qu’il y avait des problèmes avec L’Irlandais dans des scènes où De Niro était appelé à effectuer des mouvements physiques qui trahissaient son véritable âge. Mais vraisemblablement Spider-Man 3 ne verra pas Doc Ock essayer de piétiner les gens comme dans un film de Scorsese. Comme le souligne également Molina, les tentacules sont la vedette de la série avec Doc Ock. Le public n’aura probablement pas beaucoup de chance d’examiner le travail de vieillissement dans des scènes d’action où il utilise ses bras robotiques pour créer le chaos. Et aucune scène de dialogue ne nécessitera que Molina se déplace beaucoup, ce qui signifie qu’il ne devrait y avoir aucun problème avec sa physicalité modifiée.

Suite: Le titre du MCU Spider-Man 3 expliqué: ce que ne signifie pas la maison

La source: Variété

A propos de l’auteur