La phase 4 explore le problème du méchant Captain America 2 de Sam Wilson

La fascination actuelle du MCU pour les zones d’ombre morales et les méchants complexes est quelque chose que Sam Wilson a rappelé dans The Winter Soldier.

Le MCU explore actuellement une idée complexe sur la moralité et reconnaît qui sont vraiment les méchants qui remonte à une ligne intelligente de Sam Wilson dans Capitaine Amérique: Le Soldat de l’Hiver. L’un des plus gros problèmes de Le faucon et le soldat de l’hiver jusqu’à la twist controversé de John Walker était que le spectacle était tout simplement trop vague sur qui les méchants étaient censés être. Mais cela a été une grande partie de la façon dont la série a joué avec les attentes du public et comment l ‘impact du «tour de talon» de John Walker s’est joué à la fin de l’ épisode 4.

Dans la poste-Fin du jeu Dans le monde, la moralité est devenue une échelle mobile avec plus de zones grises que de stabilité perceptible: les Flag-Smashers sont classés comme des terroristes, mais ils sont aussi des combattants de la liberté; John Walker est le “diabolique” Captain America, mais il poursuit l’intégrité morale à sa manière; Sam et Bucky sont des héros mais l’un était l’instrument d’un système corrompu qui a écarté Isaiah Bradley et l’autre est un assassin réformé. Ajouter à Zemo, sans doute le méchant le plus complexe du MCU et comment il a été rebaptisé en tant qu’anti-héros engagé dans ses objectifs qui peuvent être difficiles à comprendre mais qui sont façonnés par le traumatisme indescriptible de son passé. Le bon et le mauvais ne sont plus un binaire dans le MCU, qui a déjà été exploré dans WandaVision, et bien que ce soit bon pour la profondeur narrative, c’est un défi pour la clarté narrative.

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Le fait, cependant, est que tout cela a été intentionnel. L’introduction d’Isaïe Bradley a été délibérément conçue pour déstabiliser même la vérité morale la plus fiable du MCU: que Captain America était bon à la pure manière. Le fait qu’il puisse faire partie d’un système qui pourrait déshumaniser, emprisonner et cacher une victime du même processus pour lequel il s’est porté volontaire ajoute une tache inconfortable qui remet en question l’intégrité de son célèbre bouclier. Mais c’est quelque chose que Sam Wilson avait annoncé lors de ses propres débuts dans Capitaine Amérique: Le Soldat de l’Hiver, un film mêlé à l’idée de duplicité et d’enjeux complexes de moralité. Face à la corruption découverte du SHIELD, Cap et Falcon sont confrontés au problème de ne pas reconnaître leurs ennemis et Sam dit “Cap, comment connaissons-nous les bons et les méchants?“La réponse de Cap est aussi simple qu’elle est chargée:”S’ils vous tirent dessus, ils sont mauvais. “Et c’est là que réside le récit complexe qui Le faucon et le soldat de l’hiver a été adopté comme une extrapolation de ce Le soldat d’Hiver explorée.

La méchanceté dans le MCU est maintenant une question de perception. Alors que d’anciens ennemis comme Darren Cross dans L’homme fourmi ou Emil Blonsky dans L’incroyable Hulk ou Ultron dans la suite des Avengers de Joss Whedon étaient unidimensionnels dans une sorte de méchant pantomime, les méchants de Le faucon et le soldat de l’hiver changer selon les yeux à travers lesquels l’histoire se déroule. Sam Wilson est un voyou par rapport au désir continu du gouvernement pour les super-héros réglementés; Bucky est toujours le soldat de l’hiver à ses victimes ou à ceux qui connaissent sa réputation; le gouvernement est méchant pour Isaiah Bradley; Zemo est un méchant de Wakanda; les Flag-Smashers sont à ceux dont ils cherchent à lutter. Mais chacun a ses propres opinions sur l’héroïsme et la moralité et le public est invité à décider avec qui il sympathise au fur et à mesure que le récit est révélé. John Walker est maintenant sans doute le “méchant” le plus facilement reconnu parce qu’il a tué un Flag Smasher brutalement en public, mais il l’a fait en réponse au meurtre de Battlestar, ayant exprimé sa volonté de faire ce qu’il fallait pour gagner.

Ailleurs dans le MCU, cette conviction – de faire tout ce qu’il faut – a déjà été vue. Nick Fury a parlé de sa réputation brutale avec Alexander Pierce dans Le soldat d’Hiver dans les mêmes termes: il était l’homme le plus impitoyable du SHIELD, mais il a fait ce qu’il a fait pour protéger les gens. Dans le même film, Steve Rogers répond à l’accusation de Fury selon laquelle le SSR a fait des choses moralement discutables en admettant: “Ouais, nous avons fait un compromis. Parfois d’une manière qui nous a fait mal dormir. Mais nous l’avons fait pour que les gens soient libres. ” Captain America lui-même a fait ce qu’il devait faire pour le plus grand bien, mais aussi John Walker, bien que plus marqué par l’émotion. Le public est poussé dans la position d’être hypocrites pour avoir jugé le nouveau Captain America pour quelque chose pour lequel l’original a été annoncé. Comme l’a dit Sam Wilson dans le feu de l’action en Le soldat d’Hiver, la méchanceté est une question de savoir qui tire sur qui vous vous identifiez en tant que héros encore plus que qui fait un bien incontestable. Et Le faucon et le soldat de l’hiver a exploré cela d’une manière à la fois contre-productive et enrichissante.

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