Deux ans après l’incendie: le père de Dinesh Domah réclame Rs 10,5 millions à Shoprite

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Le corps de Dinesh Domah (en médaillon) avait été retrouvé à Shoprite le 19 novembre.

Le corps de Dinesh Domah (en médaillon) avait été retrouvé à Shoprite le 19 novembre.

«Mon fils a péri dans l’incendie du hypermarché Shoprite dans des circonstances macabres. Son décès m’a grandement traumatisé.» C’est le cri du cœur d’un père meurtri qui a perdu un fils de 24 ans, Dinesh Domah. Parmessur Domah, un habitant de Palma Road, Quatre-Bornes, réclame justice. Et s’en remet à la Cour suprême, deux ans après l’incendie qui a éclaté dans le centre commercial. Il poursuit Shoprite, l’État et le ministère des Collectivités locales, leur réclamant conjointement et solidairement des dommages de Rs 10,5 millions.

Dans sa plainte, rédigée par Me Gilbert Noël, avoué, Parmessur Domah indique qu’il a été informé que son fils était porté manquant suivant l’incendie qui a éclaté à Shoprite le dimanche 12 novembre 2017. Dinesh Domah, qui travaillait au moment du sinistre, avait été aperçu se dirigeant vers le bâtiment en flammes.

En apprenant que son fils s’y trouvait, le plaignant raconte qu’il était angoissé. Il s’est immédiatement rendu sur les lieux, à Trianon. «J’ai vécu une expérience traumatisante en apprenant que mon fils était à l’intérieur de ce bâtiment en feu. J’ai gardé espoir qu’il allait être secouru. Au fil des heures, mon espoir s’est transformé en cauchemar», relate Parmessur Domah.

Ce n’est qu’après quatre jours que le feu a pu être circonscrit, soutient le plaignant. Et d’ajouter que le 19 novembre 2017, soit une semaine plus tard, il a été informé que son fils a péri dans cet incendie. Ses restes ont été retrouvés sur les lieux du sinistre.

Le même jour, une autopsie a été pratiquée. Celle-ci a conclu que Dinesh Domah est décédé des suites de graves brûlures. Parmessur Domah pointe du doigt le système de sécurité de l’hypermarché, «qui n’était pas conforme aux dispositions de la loi». Il reproche à la direction de Shoprite de n’avoir pas fourni un environnement sécurisé à son fils.

«Mon fils contribuait aux dépenses courantes de la maison car il vivait chez moi. Sa mort a causé à la famille des préjudices financiers», indique Parmessur Domah. Il a retenu les services de Me Sanjay Bhuckory, Senior Counsel.


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Lexpress

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