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L’opposition gabonaises est en reconstruction, avec en ligne de mire la présidentielle de 2023. Dans le même temps, Jean Ping, qui se considère comme le « président élu » peine à stopper l’hémorragie de ses soutiens.
Le Rassemblement Héritage et Modernité (RHM) d’Alexandre Barro-Chambrier a entamé sa mue. Devenu Rassemblement pour la patrie et la modernité (RPM) lors de son congrès des 5, 6 et 7 avril, le parti entend se reconstruire sur « des bases solides et durables ». Objectif non avoué : la présidentielle 2023.
L’UN, quant à elle, ne devrait pas tenir son congrès avant 2020. Son président, Zacharie Myboto, devrait y laisser la place à une nouvelle génération. Celle-ci a pris les devants : Jean Gaspard Ntoutoume Ayi, candidat malheureux de l’UN aux législatives, a lancé un « appel à agir » avec Maxime Minault Zima Ebeyard, Franck Ndjimbi ou Marc Ona Essangui.
Ils réclament une expertise de l’état de santé d’Ali Bongo Ondimba et, s’il était déclaré inapte, une présidentielle anticipée.
Hémorragie
Reste le cas de Jean Ping, qui, le 31 mars, a tenté de garder la main en s’adressant « à la
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