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Malgré les tentatives d’intimidation de la ministre de la Culture, le fonds public israélien consacré au septième art continue de financer des films (très) critiques à l’égard de l’État hébreu.
«Un artiste doit parfois mordre la main qui lui donne à manger », disait Nadav Lapid dans une interview récente. Ce réalisateur, lauréat de l’Ours d’or à la Berlinale pour son film Synonymes est en effet en total désaccord avec le ministère israélien de la Culture, et en particulier avec la ministre d’extrême droite qui le dirige. Et pourtant, tous ses films ont été financés en partie par le Fonds du cinéma israélien, qui a jusqu’ici réussi à résister aux pressions gouvernementales même s’il dépend d’un financement public.
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