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Début de second mandat en fanfare… le chef de l’État sénégalais entend prendre directement les choses en mains et accélérer les réformes. Conséquence : un vaste chamboule-tout au gouvernement et la suppression du poste de Premier ministre. Une stratégie qui n’est pas sans risques…
Macky Sall cache décidément bien son jeu. Le président « normal », souvent comparé à ses débuts à François Hollande en raison de sa bonhomie et du contraste de sa personnalité avec celle de son prédécesseur (Abdoulaye Wade pour lui, Nicolas Sarkozy pour son homologue français de l’époque), ne s’embarrasse guère du qu’en-dira-t-on et des petits calculs politiciens.
Chamboule-tout
Chez les acteurs politiques sénégalais, beaucoup s’attendaient à un début de second mandat tranquille, dans la continuité du précédent, avec un gouvernement élargi pour remercier les multiples soutiens de la campagne présidentielle tout en conservant les fidèles de toujours. Ils se sont trompés. En lieu et place, ils ont assisté à un vaste chamboule-tout. Une vingtaine de membres de l’ancienne équipe ont été remerciés en raison de leur inefficacité ou de leurs frasques, le nouveau gouvernement ne compte plus
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