[ad_1]
Le général Gaïd Salah a mis en garde mercredi contre des « tentatives de la part de certaines parties étrangères » de « déstabiliser le pays ». Si aucun pays n’est explicitement mentionné dans son discours, plusieurs spécialistes expliquent à Jeune Afrique pourquoi le chef d’état-major de l’armée pointerait la France.
« Nous avons déploré l’apparition de tentatives de la part de certaines parties étrangères, partant de leurs antécédents historiques avec notre pays, [ …] afin de mettre en exécution leurs desseins visant à déstabiliser l’Algérie et semer la discorde entre les enfants du peuple, à travers des slogans irréalisables visant à mener le pays vers un vide constitutionnel et détruire les institutions de l’État », a déclaré Ahmed Gaïd Salah, qui se trouvait en déplacement à Oran.
>>> À LIRE – Algérie : vers un boycott de l’élection présidentielle du 4 juillet ?
L’accusation est grave, et si le pouvoir étranger en question n’est pas expressément nommé, la référence à des « antécédents historiques » laisse peu de place au doute. « Cela ne peut être que la France », assure à Jeune Afrique Adlene Mohammedi, docteur en géographie politique et très engagé depuis le début du mouvement.
Cet article est réservé aux abonnés
Abonnez-vous à partir de 7,99€pour accéder à tous les articles en illimité
Déjà abonné ? Identifiez-vous ›
Vos avantages abonné
- 1. Accèdez en illimité à l’ensemble des articles sur le site et l’application Jeuneafrique.com (iOs & Android)
- 2. Bénéficiez en avant première, 24 heures avant leur parution, de chaque numéro et hors séries Jeune Afrique sur l’application Jeune Afrique Le Magazine (iOS & Android)
- 3. Recevez la newsletter économie quotidienne réservée aux abonnés
- 4. Profitez de 2 ans d’archives de Jeune Afrique en édition numérique
- 5. Abonnement sans engagement de durée avec l’offre mensuelle tacitement renouvelable*
*Service uniquement disponible pour les abonnements à durée libre.
[ad_2]
Source link
Have something to say? Leave a comment: