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C’est un coup de tonnerre judiciaire : Iouri Dmitriev, historien spécialiste des crimes commis sous l’ère stalinienne, aurait pu sortir de prison en novembre, mais la justice russe a alourdi, mardi 29 septembre, sa peine à treize ans d’emprisonnement, rapporte l’agence Interfax, citant son avocat.
En juillet, M. Dmitriev avait été reconnu coupable de violences sexuelles sur sa fille adoptive et condamné à trois ans et demi de prison. L’homme de 64 ans avait alors déjà passé plus de trois ans en détention préventive.
Son avocat et ses partisans dénoncent des accusations fabriquées de toutes pièces pour le punir en raison de son travail.
Poursuites motivées politiquement
Son premier procès était l’un des plus importants de ces dernières années en Russie. Il s’était achevé, de manière peu lisible, avec un verdict étonnamment clément au regard de la gravité des faits reprochés. Le procureur avait d’ailleurs à l’époque réclamé quinze ans de détention.
Mais, aux yeux de nombre de ses partisans, cette condamnation d’alors était un acquittement qui ne disait pas son nom et le verdict en demi-teinte avait des allures de confirmation pour ceux qui ont toujours dénoncé des poursuites fantaisistes et motivées politiquement.
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