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Renouvelée année après année, la mission d’appui des Nations unies en Libye tente d’assurer une médiation impartiale, huit ans après le début de la guerre civile en 2011. Aujourd’hui, alors que les combats armés reprennent, elle doit faire face à de multiples ingérences étrangères et à l’urgence de construire un sentiment d’appartenance nationale.
Une semaine après le début des affrontements entre les forces de Khalifa Haftar et celles de Tripoli, une partie du personnel de la mission de l’ONU en Libye (Unsmil) a quitté la capitale mardi matin. « Nous avons été contraints d’apporter certaines modifications à la mission à cause des combats en cours dans la banlieue tripolitaine », a fait savoir le porte-parole du contingent onusien. Quant à l’envoyé spécial de l’ONU en Libye, Ghassan Salamé, il a été décidé qu’il resterait sur place. Dans un communiqué publié sur le compte Twitter de l’Unsmil, celui-ci a déclaré avoir été « surpris par la guerre » et par « des attaques qui ébranlent les tentatives de paix et l’espoir du retour au dialogue » entre les parties.
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