trois étapes clés pour une sortie de crise par le haut – Jeune Afrique

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Mossadeck Bally, le PDG du groupe hôtelier Azalaï, appelle à lutter contre la corruption, relancer l’attractivité du pays et soutenir la population pour assurer la réussite de la transition malienne.


Dégradation continue de la situation politique, sécuritaire et socio-économique, népotisme, gaspillage des maigres ressources financières du pays… « Même si elle sort du cadre constitutionnel en vigueur, l’intervention militaire du 18 août était nécessaire, car le Mali était institutionnellement bloqué et subissait le pillage systématique d’une poignée d’individus », écrivions-nous, le 25 août, dans une prise de position publique avec un groupe de Maliens engagés.

Cette page de notre histoire est désormais tournée et, malgré l’insécurité, la pandémie et la récession économique, nous nous devons d’être optimistes. L’absence ou la quasi-absence de violences et les appels à la reprise des activités dans l’administration et les entreprises sont autant de signaux positifs lancés par cette transition. Il faut maintenant s’atteler aux prochaines étapes pour la reconstruction du pays et la mise en place de nouvelles fondations qui permettent de changer les règles du jeu politique.

Le privé doit aussi participer

À ce jour, le secteur privé n’a pas encore été consulté dans le cadre de ce processus, mais il pourrait y jouer un rôle à travers ses clés de voûte que sont le Conseil national du patronat du Mali (CNPM), la Chambre de commerce d’Industrie du Mali (CCIM) et le Réseau de l’entreprise en Afrique de l’Ouest (Reao).



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JeuneAfrique

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