« La Proie », un Deon Meyer sans concession – Jeune Afrique

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Avec « La Proie », l’auteur de polars Deon Meyer signe l’un de ses livres les plus politiques. Car son personnage principal n’est autre qu’un homme de pouvoir corrompu qui a trahi les idéaux de son parti et bafoué l’héritage de Nelson Mandela. Une ressemblance avec la réalité tout à fait volontaire.


Nous voici de nouveau chez les Hawks, le département de la police sud-africaine spécialisé dans la criminalité violente, au Cap. Un homme a été retrouvé mort, le crâne défoncé : selon toute vraisemblance, il a été balancé du train de luxe Rovos Rail circulant à travers toute l’Afrique australe depuis Pretoria. Sous les ordres de la colonelle Mbali Kaleni, le duo Benny Griessel et Vaughn Cupido se lance dans l’enquête.

Tueur à gages

"La Proie", de Deon Meyer, est traduit de l’afrikaans par Georges Lory. Gallimard, 576 pages, 18 euros.

Benny Griessel est blanc, il a un problème avec l’alcool et essaie de reconstruire sa vie avec une chanteuse de renom dont il est fou amoureux. Vaughn Cupido est noir, il a un problème de surpoids et essaie de gagner la confiance de son futur beau-fils, qui juge tous les policiers d’Afrique du Sud corrompus.

Une mission à haut risque : abattre le président sud-africain

Parallèlement, en France, un ancien tueur à gages de l’African National Congress (ANC), du



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JeuneAfrique

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