la famille Trump en force à la convention républicaine

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A la faveur de la convention démocrate (17-20 août), qui a intronisé Joe Biden comme le candidat de son parti pour la présidentielle du 3 novembre, Le Monde a relancé son carnet de bord de la campagne. Un point quotidien, avec les faits de campagne, les publicités politiques, les sondages, les cartes et les chiffres qui permettent de suivre et de vivre la plus importante compétition électorale au monde.

Le président américain Donald Trump avec sa femme Melania Trump et leur fils Barron le 16 août à Morristown, New Jersey.

La famille Trump va être omniprésente lors de la convention d’investiture républicaine qui s’ouvre le lundi 24 août. Initialement prévu à Charlotte, en Caroline du Nord et à Jacksonville, en Floride, cet événement sera en bonne partie virtuel, comme la convention démocrate de Miwaukee (Wisconsin) organisée la semaine précédente.

Le président sortant a prévu de prendre la parole tous les soirs, contrairement à l’usage qui veut que le candidat choisi par le parti s’exprime essentiellement à la fin de la convention. Comme le veut la coutume, la First lady, Melania, défendra également son époux, mardi. Elle s’exprimera dans la roseraie de la Maison Blanche qu’elle a faite redessiner à cette occasion.

Les quatre premiers enfants du président ont prévu aussi de s’exprimer. Donald Jr., le fils aîné du président, parlera lundi, tout comme sa compagne, Kimberly Ann Guilfoyle, ancienne procureur en Californie passée par la chaîne conservatrice Fox News. Outre Melania, Eric Trump et sa sœur Tiffany sont inscrits au programme de mardi. L’épouse d’Eric, Lara, qui travaille pour la campagne de réélection, comme Kimberly Ann Guilfoyle, figure parmi les orateurs de mercredi. La fille aînée du président, Ivanka, par ailleurs conseillère à la Maison Blanche comme son mari Jared Kushner, parlera le dernier jour, mardi.

Les deux fils aînés du président soutiennent activement leur père, quitte à provoquer la controverse. Donald Jr., a ainsi publié en mai sur les réseaux sociaux un message accusant le candidat démocrate à la présidentielle, Joe Biden, de pédophilie. En juin, Eric Trump a publié sur son compte Twitter un message invitant les fidèles de son père à participer à un meeting à Tusla, dans l’Oklahoma, accompagné de la lettre Q, dans une référence à la mouvance complotiste QAnon selon laquelle le Parti démocrate abrite un réseau de trafic d’êtres humains et de pédophiles. L’acronyme WWGOWGA qui sert de mot d’ordre à la mouvance (« Where We Go One, We Go All ») figurait également sur le message.

En juillet, Donald Trump Jr. s’en était pris vivement à la numéro 3 républicaine à la Chambre des représentants, Liz Cheney, fille de l’ancien vice-président de George W. Bush. « Nous avons déjà eu un [Mitt] Romney nous n’avons pas besoin d’un second », avait-il écrit dans une allusion au candidat malheureux à la présidentielle de 2012. « De même nous n’avons pas besoin de guerres sans fin », avait-il ajouté, alors que Liz Cheney appartient au courant « faucon » du Parti républicain.

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