Pour son expansion, Barrick ne vise que la « classe mondiale » – Jeune Afrique

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Grâce à sa bonne santé financière, le géant canadien est à l’affût d’opportunités dans les filières de l’or et du cuivre pour servir ses ambitions panafricaines.


Un an et demi après sa fusion avec Randgold Resources, le géant de l’or Barrick, piloté par le Sud-Africain Mark Bristow, est en pleine forme. Numéro deux mondial du secteur, derrière l’américain Newmont Mining, le groupe canadien devrait devenir cette année le premier producteur du métal précieux en Afrique, avec plus de 2 millions d’onces extraites, après la vente en février par AngloGold Ashanti de ses mines sud-africaines à Harmony Gold.

Grâce aux actifs de Randgold, qui était très présent en Afrique de l’Ouest (Mali, Côte d’Ivoire…), mais aussi à la conviction de son patron que le sous-sol africain, encore largement inexploré, recèle des gisements attractifs, Barrick est aujourd’hui le seul groupe à mettre en œuvre une véritable stratégie panafricaine.

Si l’épidémie de Covid-19 a obligé le géant minier à instaurer des protocoles sanitaires draconiens sur ses sites – notamment en acheminant des dizaines de milliers de tests –, le rythme de sa production n’a pas baissé, du Mali à la Tanzanie.

« Toutes nos mines sont pilotées par des Africains, et l’essentiel du management est issu du pays, ce qui fait que nous avons moins souffert de l’impossibilité pour les expatriés de voyager », indique Mark Bristow. Confiné en Afrique du Sud pendant les mois d’avril et de mai, le dirigeant n’a lui-même repris ses incessants voyages, de la Papouasie-Nouvelle-Guinée jusqu’au Nevada, que début juin.


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