[ad_1]
Rongé par de graves dissensions internes, frappé de discrédit pour ses promesses non tenues, menacé par l’émergence de formations concurrentes, le parti présidentiel tente désespérément de rebondir.
Après plusieurs reports, le congrès électif de Nidaa Tounes devrait se tenir à Monastir, fief de Habib Bourguiba, fondateur de la République, à la date anniversaire de son décès, le 6 avril, pour ce qui apparaît comme la dernière chance de relance d’un parti moribond. Car Nidaa Tounes s’est immolé sur l’autel des ambitions personnelles et des promesses non tenues.
La démission, en mars, du comité d’organisation du congrès en est le dernier signe en date. En cause, l’incapacité du bureau exécutif et de son chef, Hafedh Caïd Essebsi (HCE) – fils du président de la République – , à le tenir dans la transparence. « Il faut absolument procéder à une véritable autocritique et discuter de la démocratie interne, sinon Nidaa perdra les élections », prévient Boujemaa Remili, membre du comité.
Cet article est réservé aux abonnés
Abonnez-vous à partir de 7,99€pour accéder à tous les articles en illimité
Déjà abonné ? Identifiez-vous ›
Vos avantages abonné
- 1. Accèdez en illimité à l’ensemble des articles sur le site et l’application Jeuneafrique.com (iOs & Android)
- 2. Bénéficiez en avant première, 24 heures avant leur parution, de chaque numéro et hors séries Jeune Afrique sur l’application Jeune Afrique Le Magazine (iOS & Android)
- 3. Recevez la newsletter économie quotidienne réservée aux abonnés
- 4. Profitez de 2 ans d’archives de Jeune Afrique en édition numérique
- 5. Abonnement sans engagement de durée avec l’offre mensuelle tacitement renouvelable*
*Service uniquement disponible pour les abonnements à durée libre.
[ad_2]
Source link
Have something to say? Leave a comment: