[Editorial] “Roul pa nou”, l’édito de Jacques Tillier à retrouver dans votre JIR demain

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Ce qui se passe depuis des jours, des semaines, des mois, des années à Saint-Louis est finalement assez révélateur de la mentalité et de la probité de certains, de celles et ceux de ces politiques qui, localement nous dirigent, dont il faudrait avoir honte, qu’il faudrait “dégager” à jamais. Pour diverses raisons, ils sèchent comme la semaine dernière sur la corde à linge, décalqués par Leroy. Vous remarquerez néanmoins une entrée provisoire, je pense, celle de Cyrille Hamilcaro. Pour l’ensemble de son œuvre, de ces basses œuvres aussi, il est étendu, tête en haut tout de même en compagnie d’un renégat notoire, repris de justice lui aussi, chef nervi et communiste depuis tout petit.

Vous avez reconnu Claude Hoarau qui pendouille tête en bas, qui se présente à 78 ans en bon père de famille dans l’espoir d’installer sur le trône son fils Fabrice, en bonne place sur sa liste… Ces deux furets, sous-espèce du putois, qui en douce se soutiennent, s’entendent comme des larrons en foire, sont candidats au fauteuil municipal. Vous noterez aussi la présence sur la corde à linge de Madame Bareigts, de la pelisse d’Huguette  Bello, candidates, l’une à Saint-Paul, l’autre à Saint-Denis. 

Ça n’est pas pour cette raison qu’elles se retrouvent ce matin à pendouiller en compagnie de ces trois délinquants, dont deux ex-taulards…Vous aurez remarqué en effet tête en bas, revêtu de son costume traditionnel du dimanche, Gilbert Annette à ce jour maire de Saint-Denis, titulaire de deux écharpes tricolores, député- maire, mais aussi, histoire sans doute de redorer les pompons de ses écharpes, d’un casier judiciaire plutôt chargé. Les présentations sont faites. Le bal est ouvert. 

Si la droite locale a été, comme c’est souvent le cas, assez bête pour se désunir, se tirer une balle dans le pied, l’autre dans la tête pour les années à venir, nous pourrions en avoir confirmation demain, l’union des gauches, façon “manger cochon” comme dirait Huguette Bello, qui ferait mieux de s’appliquer ce bon vieux dicton, ne peut tout excuser. C’est à cause de Saint-Louis qu’Éricka Bareigts et le précieux manteau,  baptisé retour de chasse, à tête de renards métropolitains, sèchent ce matin. 

Saint-Louis où une jeune femme, Juliana M’Doihoma, moins de quarante ans, diplômée de Sciences Po, issue d’un milieu populaire plutôt modeste, pas franchement de droite, soutenue par personne ou presque, ou bien alors en cachette ou ricochet, arrivée en tête au premier tour devant les deux furets Hoarau et Hamilcaro devenus depuis ce soir-là plus furax qu’à l’accoutumée, se fait quotidiennement copieusement salir et insulter par leurs nervis qui menacent, fabriquent et fanent des tracts franchement dégueulasses. Et parce que c’est une femme ils y vont gaiement…Sans que Mesdames Bello et Bareigts ne bronchent.

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