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En propulsant Alain-Guillaume Bunyoni au poste de Premier ministre, Évariste Ndayishimiye s’inscrit dans la continuité du système bâti par son prédécesseur Pierre Nkurunziza.
Pour Évariste Ndayishimiye, ce début de mandat ressemble à grand saut dans l’inconnu. Et la nomination au poste de Premier ministre d’Alain-Guillaume Bunyoni, considéré comme l’un des faucons de l’ère Nkurunziza, inquiète ceux qui espéraient un changement de cap à la tête de l’État burundais. Jusqu’au décès de Pierre Nkurunziza, le 8 juin, l’une des principales questions était de savoir quelle serait la marge de manœuvre dont disposerait ce général de 52 ans face à son prédécesseur, qui avait pris le soin, avant l’élection, de s’attribuer titres et avantages qui lui garantissaient une place de choix au cœur du futur système.
Transition au pas de course
La mort inattendue de Nkurunziza, dont les obsèques doivent se dérouler le 26 juin, a chamboulé les schémas imaginés dans un parti qui laisse habituellement peu de place à l’impréparation.
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