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Arrivé à Maurice quelques jours avant les championnats nationaux, le cycliste Alexandre Mayer y est bloqué depuis. Le coureur, qui vient de réaliser l’Everest Challenge en compagnie de Christopher et Grégory Lagane, pense à son éventuel retour en France, où il évolue sous les couleurs de la formation Fybolia-Locminé.
Le sport de compétition est, dans la plupart des pays du monde, à l’arrêt. Le cyclisme n’est pas épargné. Et cette année devait être sa dernière au plus haut niveau. « L’année prochaine, je me concentre sur mes études », dit le cycliste, maillot jaune sur le Tour de Maurice en 2019.
L’année 2020 est donc celle de tous les défis pour le coureur, qui passera chez les seniors en 2021. Il avait donc coché de gros rendez-vous sur le calendrier. Il pense ainsi aux championnats d’Afrique. « On attend de savoir ce qu’il adviendra des championnats d’Afrique 2020. »
Si cela figure encore dans ses objectifs, il pense aussi à son club breton, la Fybolia-Locminé, avec qui il a un contrat d’un an. Pour cela, il doit encore voir avec la Fédération mauricienne de cyclisme (FMC) et son club, pour la marche à suivre. « Ce sont des choses que nous devons voir. Mais le plus important est, pour le moment, de savoir quand on pourra voyager à nouveau », nous explique le coureur.
D’autant que la pandémie de Covid-19 a chamboulé tous les plans, avec le renvoi de toutes les compétitions majeures. « Les Tours et la saison toute entière ont été chamboulés. On attend tous de savoir comment vont se passer les choses pour avoir une meilleure idée de la suite. »
L’année 2020 est-elle donc perdue ? « Pas tout à fait. Mais c’est dommage. On a tous fait une grosse préparation, on avait des objectifs. Et il y a eu la pandémie qui est venue chambouler tous les plans. »
D’autant qu’il a passé la majorité du confinement à se maintenir en forme grâce au home-trainer et à l’application Zwift, où il a pu disputer quelques courses virtuelles. Mais cela ne remplace pas la sensation que procure la course.
Reste que la pandémie lui a permis de remettre ses objectifs en questions. Les études seront, dès l’année prochaine, en haut de sa liste de priorités. « Le confinement nous a permis de nous poser des questions. On a remis beaucoup de choses en perspective », avance-t-il.
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