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Tour à tour symbole de résignation puis de résistance, le foulard revient à présent sur toutes les têtes. Et témoigne de la progressive globalisation de la mode africaine.
On les appelle les « turbanistas », un terme jargonneux pour désigner la communauté de femmes afro-descendantes ultra-connectées, fières de leurs racines africaines. Sur Instagram, on recense quelque 155 000 contenus sous cette appellation. De quoi mesurer l’ampleur du mouvement.
Pour Ange Dukunde, alias DK Ange, initiatrice des ateliers itinérants (Paris, Bruxelles, Kinshasa, Conakry…) d’attachés de turban batik « Osez le foulard », il s’agit bien d’un mouvement. « J’ai grandi du côté flamand de la Belgique, où il n’y avait pas beaucoup de Noirs, note-t-elle. ouer un tissu autour de ma tête a été ma manière d’exprimer mon lien à l’Afrique », revendique la Rwandaise d’origine, qui vient pourtant d’un pays où la pratique n’est pas vraiment une coutume.
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