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Si l’interdiction d’exporter des grumes en 2009 a permis d’attirer les investisseurs, les retombées économiques issues de leur transformation sont encore limitées.
Scié, tranché, déroulé, depuis bientôt dix ans, le bois gabonais ne s’exporte qu’une fois transformé. Annoncée en novembre 2009 par le président Ali Bongo Ondimba, l’interdiction d’exporter des grumes avait été appliquée dès janvier 2010. Objectif : accélérer l’industrialisation de la filière bois qui bénéficie d’une superficie forestière de 15 millions d’hectares avec une soixantaine d’essences dont la qualité est mondialement reconnue.
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