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Est-il possible de désintoxiquer l’Algérie de la rente pétrolière ? Oui, répond une nouvelle génération de patrons qui s’attache à revivifier le tissu productif. Si tous ont hérité d’une industrie familiale, chacun s’est fixé comme objectif d’exceller dans son secteur, et de briller bien au-delà du marché domestique. Portraits.
• Laïd Benamor : le pionnier de l’agro 2.0
Il faut visiter le site industriel du groupe Amor Benamor à Guelma, dans l’Est, pour saisir à quel point l’agroalimentaire est devenu une science pour Laïd Benamor. Dès 1986, le PDG éponyme du groupe leader dans la conserverie de tomates y impose les premiers ordinateurs. Et aujourd’hui encore, à 52 ans, l’héritier de la société suit les cours internationaux des produits agricoles sur son smartphone. Quand il en reprend les rênes en 2003, sa première préoccupation est d’aller voir ailleurs ce qui se fait de mieux pour l’appliquer ensuite dans le groupe.
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