le parcours d’Amina Bouayach, la « Madame droits de l’homme » de Mohammed VI – JeuneAfrique.com

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recadrer – amina bouayach © MAP


Égalité successorale, interdiction du mariage des mineures, abolition de la peine de mort… Amina Bouayach, nouvelle présidente du CNDH, est de tous les combats.


C’est ce que l’on appelle une entrée fracassante… Nommée en décembre 2018 par Mohammed VI à la tête du Conseil national des droits de l’homme (CNDH), Amina Bouayach, 61 ans, est depuis de tous les débats de société. Dernier combat en date : l’instauration de l’égalité successorale entre les femmes et les hommes, comme tente de le faire la Tunisie.

Sur les ondes de Monte Carlo Doualiya, mi-mars, elle a assuré que le CNDH, une institution dont l’action est encadrée par la loi, défendrait ce principe, pourtant toujours contesté dans le royaume. Dix jours plus tôt, Amina Bouayach lançait une campagne pour l’interdiction du mariage des mineures. La réforme de la Moudawana – droit de la famille – en restreint la pratique depuis 2004. Mais ne l’interdit pas formellement. À l’époque, Bouayach a défendu cette ré­écriture de la loi.

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