Nathalie Loiseau démissionne pour mener la liste LRM

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L’écologiste Pascal Canfin est numéro deux de la liste, sur laquelle figure également la directrice de la Maison de l’Europe à Rennes, Marie-Pierre Vedrenne (MoDem, n° 3).

Le Monde avec AFP Publié aujourd’hui à 10h56, mis à jour à 11h48

Temps de Lecture 1 min.

Nathalie Loiseau à sa sortie du conseil des ministres, mercredi 27 mars.
Nathalie Loiseau à sa sortie du conseil des ministres, mercredi 27 mars. LUDOVIC MARIN / AFP

La ministre des affaires européennes, Nathalie Loiseau, a quitté le gouvernement, mercredi 27 mars à l’issue du conseil des ministres, après avoir été investie mardi à la tête de la liste La République en marche (LRM) aux élections européennes.

La question de son remplacement « n’a pas été abordée en conseil des ministres », a assuré le porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux. Interrogé sur son propre départ pour préparer une candidature à la mairie de Paris, M. Griveaux a simplement répété qu’« il prendrait sa décision au printemps » et qu’il « démissionnerait immédiatement » s’il était candidat.

« Une offre progressiste, déterminée, centrale »

Présentation de la liste LRM aux européennes, le 26 mars, à Paris.
Présentation de la liste LRM aux européennes, le 26 mars, à Paris. GONZALO FUENTES / REUTERS

Après Mme Loiseau figurent sur la liste du parti présidentiel aux élections européennes : l’écologiste Pascal Canfin, la directrice de la Maison de l’Europe à Rennes, Marie-Pierre Vedrenne (MoDem, no 3) ; le président des Jeunes agriculteurs (JA), Jérémy Decerle (no 4) ; la navigatrice Catherine Chabaud (no 5) ; la sénatrice Agir Fabienne Keller (no 7) ; et le journaliste Bernard Guetta (no 8).

Lire aussi : avec Nathalie Loiseau et Pascal Canfin, une liste d’alliance pour LRM

« Un certain nombre de forces populistes montent en Europe et nous allons les combattre. Nous voulons être une offre progressiste, déterminée, centrale », a assuré mardi Mme Loiseau, aux côtés de plusieurs autres candidats, dont M. Canfin.

« Ce qui nous rassemble, c’est que nous sommes tous des Européens convaincus, des Européens exigeants, sûrement des Européens impatients, et sûrement pas des eurobéats. Nous avons tous une histoire avec l’Europe. »

Elle a dit aussi vouloir notamment « revoir le droit de la concurrence pour pouvoir créer des champions européens », mais « aussi les réguler » afin d’éviter une politique numérique « coincée entre la loi de la jungle, comme on peut le voir parfois aux Etats-Unis, et la loi de la censure, qu’on peut voir parfois sur le continent asiatique ».

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