Contre le Brexit blues, le rififi entre Kate et Meghan

0
269

[ad_1]

Les deux princesses, épouses des petits-fils de la reine d’Angleterre, ont eu beau s’adresser des sourires complices devant les photographes, la presse people se délecte des différends supposés entre leurs deux familles.

Par Philippe Bernard Publié aujourd’hui à 04h10

Temps de Lecture 5 min.

Article réservé aux abonnés

LETTRE DE LONDRES

La duchesse de Cambridge et la duchesse de Sussex à l’abbaye de Westminster, lors de la cérémonie pour le Commonwealth, le 11 mars.
La duchesse de Cambridge et la duchesse de Sussex à l’abbaye de Westminster, lors de la cérémonie pour le Commonwealth, le 11 mars. RICHARD POHLE / AP

Le gouvernement de Theresa May peut bien se prendre les pieds dans le tapis du Brexit, la famille royale, elle, poursuit sa tâche de salut national : apporter un peu de réconfort aux Britanniques pendant ces heures sombres.

Le mariage du très assagi prince Harry avec la rayonnante Meghan Markle à Windsor en mai, avait déjà offert un très opportun dérivatif au blues collectif alimenté par l’interminable procédure de divorce avec l’Europe. L’accident de voiture du prince Philip, 95 ans, le miracle de sa sortie indemne, après un tonneau, d’une Land Rover Freelander conduite sans ceinture, sa promesse forcée de renoncer à la conduite, ont, en janvier, distrait les chaumières du crash des négociations avec l’Union européenne. Quant aux rondeurs de plus en plus affirmées de Meghan Markle en route pour un heureux événement prévu pour le printemps, elles ont offert un contrepoint optimiste aux traits de plus en plus tirés de la première ministre.

Lire aussi Meghan Markle épouse le prince Harry : « Un nouveau départ pour la monarchie »

Tensions entre les frères

Mais l’étalage des petits malheurs et des grands bonheurs ne suffisant pas à alimenter les pages people des médias, il a fallu offrir au public d’autres « stories ». L’une d’elles, à vrai dire assez attendue, pourrait se transformer en un feuilleton titré « Rien ne va plus entre les Cambridge (Kate et William) et les Sussex (Meghan et Harry) ». Entre l’Anglaise classique fille de la grande bourgeoisie et l’actrice américaine métisse et divorcée, il n’est pas difficile pour les « correspondants royaux » de la presse britannique, d’amplifier voire de construire une histoire de jalousie pimentée d’anecdotes invérifiables et de sentiments prêtés.

Le scénario avait une bonne « accroche » : William et Harry, les époux, sont, dans l’imaginaire collectif, soudés par les souffrances liées, dans leur enfance, à la mésentente de leurs parents et à la mort tragique de leur mère la princesse Diana ainsi que par la détestation qu’ils professent à l’encontre des médias considérés comme responsables du drame du pont de l’Alma.

Or « des tensions sont apparues entre les deux frères », a rapporté la presse voici quelques mois. Harry aurait reproché à William de ne pas accueillir assez chaleureusement son épouse Meghan. La rumeur a acquis de la consistance lorsqu’il a été annoncé que les deux couples, installés jusqu’à présent dans deux demeures du même Kensington Palace, au cœur de Londres, allaient habiter séparément. Harry et Meghan, à l’étroit dans les 123 mètres carrés de Nottingham Cottage vont déménager à Frogmore Estate, un manoir du XVIIe siècle doté de dix chambres, d’une nursery et d’une salle de gym, situé non loin du château de Windsor qui va être entièrement restauré aux frais de l’Etat. « Harry et Meghan ne veulent plus vivre à côté de William et Kate », ont expliqué les chroniqueurs royaux en faisant mousser le nouveau drame naissant chez les Windsor.

[ad_2]

Source link

Have something to say? Leave a comment: