un pied dans chaque camp libyen – JeuneAfrique.com

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Le Premier ministre Fayez al-Sarraj et son rival le maréchal Khalifa Haftar, au château de La Celle-Saint-Cloud, en juillet 2017. © Michel Euler/AP/SIPA


Le 17 mars 2011, quand le Conseil de sécurité de l’ONU se réunit pour prévoir la mise en place d’une zone d’exclusion aérienne en Libye, la Russie laisse faire en ne mettant pas son veto. Pour voir. Et elle a vu : la coalition de forces occidentales et arabes guide la rébellion jusqu’à la mort du dictateur, en octobre 2011, à Syrte. Le pays sombre dans le chaos.


« La Libye, peut-être plus encore que d’autres crises, incarne l’échec occidental aux yeux de Moscou », résume Jalal Harchaoui, enseignant en géopolitique à l’université de Versailles. La doctrine pour le monde arabe est fixée : pour assurer sa stabilité, il faut s’appuyer sur des hommes forts capables de « tenir » les populations.

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