Abir Moussi, portrait d’une Benaliste convaincue – JeuneAfrique.com

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Abir Moussi, présidente du Parti destourien libre à son bureau du quartier Montplaisir, à Tunis, le 27 février. © Ons Abid pour ja


Elle vante l’ancien régime, fustige la révolution et jure d’éradiquer l’islamisme. A priori bien placée dans les sondages, Abir Moussi, présidente du Parti destourien libre, est une énigme. Portrait.


Moins de deux mois après la chute de l’ancien régime, dans une Tunisie en pleine effervescence révolutionnaire, la scène marque les esprits. Au tribunal de première instance de Tunis, ce 2 mars 2011, se tient le procès de dissolution du Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD).

Une avocate, une seule, a accepté de représenter le parti de Ben Ali : Abir Moussi. Elle s’avance dans une salle chauffée à blanc qui la hue et l’insulte. À la levée de l’audience, elle est prise à partie par ses confrères. La foule la poursuit jusque dans la rue, la rouant de coups et lui tirant les cheveux. L’avocate manque d’être ­lynchée. Par chance, elle trouve refuge dans une estafette de police.

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