calme précaire à Nzérékoré après des affrontements meurtriers – Jeune Afrique

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Une rue de Nzérékoré, en 2013 (archives/illustration).

Une rue de Nzérékoré, en 2013 (archives/illustration). © Creative Commons / Wikimedia / Maarten van der Bent

Le double scrutin référendaire et législatif du 22 mars a été marqué par des violences meurtrières à Nzérékoré, dans l’est du pays, où les affrontements ont pris un caractère communautaire.


Un calme précaire règne à Nzérékoré. Les activités sont au ralenti. Peu de véhicules circulent, le marché est vide. Quelques rares vendeuses de condiments ont posé leurs étals en bord de route. Tel est le tableau de l’atmosphère qui règne dans la ville dépeint par plusieurs témoins joints sur place par téléphone par Jeune Afrique.

Cette ville de l’est du pays, située à un millier de kilomètres de Conakry, connue pour être l’un des bastions de l’ancien président Dadis Camara, est calme. Elle porte cependant encore les stigmates des violences qui ont éclaté lors de la journée électorale de dimanche.

Tout a commencé dans le quartier de Nakoyakpala. Dimanche matin, des manifestants hostiles au projet de nouvelle Constitution ont fait irruption dans les bureaux de vote du quartier, dès l’ouverture, détruisant les kits électoraux et brûlant les bulletins installés sur les tables. Le centre électoral du quartier de Mohomou a ensuite été attaqué et saccagé.

“La terreur a paralysé la ville”

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JeuneAfrique

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