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Gestion efficace, investissements ciblés, mais aussi trafic en baisse en lien avec la fermeture de la frontière terrestre nigériane, le Port autonome de Cotonou, sous gestion belge depuis 2018 doit faire face à des défis conjoncturels parfois contraires.
Audits, formation, dématérialisation des procédures, management belge… Depuis que sa gestion a été confiée, en 2018, au belge Port of Antwerp International (PAI), le Port autonome de Cotonou (PAC) fait l’objet d’un plan d’investissement de 350 milliards de F CFA (457 millions d’euros) et est soumis par le gouvernement béninois à une politique de résultats destinée à améliorer rapidement l’efficacité de sa gestion, de ses prestations et de sa rentabilité.
« Un contrat de délégation assez unique d’une activité régalienne », expliquait l’expert en questions maritimes Yann Alix à Jeune Afrique, en juillet 2018. Cotonou doit affronter désormais une épreuve imprévue : la baisse du trafic du port depuis la fermeture de la frontière terrestre nigériane, le 20 août 2019. Selon des chiffres que JA s’est procurés, le tonnage total s’est établi à 10,09 millions de tonnes en 2019, accusant une
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