Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, adversaire ambigu de « l’ingérence étrangère » – Jeune Afrique

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Le président équato-guinéen, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, lors d'une visite au Nigeria, en 2015.

Le président équato-guinéen, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, lors d’une visite au Nigeria, en 2015. © Sunday Alamba/AP/SIPA

L’Union africaine a inauguré le 9 janvier le siège du Comité des services de renseignement et de sécurité en Afrique (Cissa), en marge de la première journée de son sommet des chefs d’État. L’occasion pour Teodoro Obiang Nguema Mbasogo de livrer un réquisitoire contre « les ingérences étrangères ».


Teodoro Obiang Nguema Mbasogo a désormais sa statue non loin du siège de l’Union africaine, à Addis-Abeba. Certes, elle ne trône pas, comme celle d’Haïlé Sélassié, à l’entrée du siège de l’UA. Il faut traverser une route et parcourir quelques centaines de mètres pour visiter le bâtiment flambant neuf du Comité des services de renseignement et de sécurité en Afrique (Cissa), près duquel le buste de granit de la « Panthère de Mongomo » veille désormais.

Le président Obiang a su mériter les honneurs des sculpteurs : inauguré le 9 février, le nouveau siège du Cissa (créé en 2004 pour promouvoir les échanges de renseignement entre les pays africains dans la lutte contre le terrorisme et la criminalité transfrontalière) a été intégralement financé par la Guinée équatoriale elle-même, le terrain ayant été mis à disposition par l’Éthiopie depuis plusieurs années.

« Mercenaires étrangers »



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JeuneAfrique

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