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Le chanteur populaire Salim Ali Amir nous entraîne à travers la capitale des Comores dans les lieux qui lui sont chers.
Salim Ali Amir est un monument à Moroni. Il suffit de se promener en sa compagnie dans la ville pour mesurer la popularité de celui qui, à bientôt 57 ans, est considéré comme le père de la musique comorienne. Même Soprano lui a rendu un hommage appuyé lors du grand concert que Salim avait organisé, en 2017, pour célébrer trois décennies de carrière.
Et il est bien l’unique Comorien à pouvoir en dire autant, tant il est difficile pour un musicien de vivre de son art. Il a réussi à l’exporter en se produisant en France et dans les pays voisins, et en lançant, au tournant des années 1990, l’unique studio d’enregistrement de l’archipel, le Studio 1. Toute la scène comorienne en parle encore.
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