Le jour où j’ai perdu ma mère, j’ai perdu une partie de mon âme et je voudrais qu’elle sache à quel point elle me manque

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“La mort d’une mère est le premier chagrin qu’on pleure sans elle”, disait John Petit-Senn, poète genevois. Et à juste titre, puisque le deuil d’une maman signifie la perte d’une source de tendresse et d’amour inconditionnels. Vivre sans elle, c’est devoir affronter la vie sans pilier, sans moteur, et sans cette personne qui nous protège de sa bienveillance et de son amour sans limites. Le jour où on perd une maman, c’est une partie de notre âme qui nous quitte.

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