Lallmatie: Guy Darbon, «Les femmes peuvent très bien travailler dans des garages»

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De g. à dr.: Guy et Iris Darbon et Olga Laretif.

De g. à dr.: Guy et Iris Darbon et Olga Laretif.

Guy Darbon est un homme sans préjugés. Gérant d’un garage à Lallmatie, il emploie depuis quelque temps deux femmes dans son garage. Rencontre.

À 49 ans, il compte plus de 27 ans dans le domaine et propose des services pour tout ce qui est carrosserie et peinture auto, entre autres.

Il est aujourd’hui convaincu que les femmes peuvent faire aussi bien que les hommes. Il n’a pas toujours pensé ainsi. En fait, il ne s’était jamais posé la question jusqu’à ce qu’il peine à trouver des Helpers à employer. Guy Darbon s’est rendu compte que les jeunes ne s’intéressent pas au métier. C’est alors qu’il a décidé d’embaucher Olga Laretif, qui cherchait un boulot. Cette dernière n’avait pourtant jamais travaillé dans un garage. Et récemment, il a embauché sa soeur aînée, Iris Darbon. «Au garage, il y a six ouvriers et deux femmes Helpers. On s’entraide et les deux femmes n’ont jamais rencontré de problème. Au contraire, je trouve que les femmes peuvent assurément travailler dans des garages. Aujourd’hui, nous voyons des femmes chauffeurs, maçons et la liste est longue. J’encourage un plus grand nombre de femmes à considérer de faire une carrière dans un garage. Pourquoi pas après tout ?»

La mentalité des gens évolue positivement et c’est progressif. Guy Darbon le concède.

Cela fait trois ans qu’Olga Laretif travaille dans le garage de Guy Darbon. Auparavant, elle était employée dans le secteur du textile. À présent, elle a acquis un savoir-faire pour le service de carrosserie et de peinture. D’origine malgache, cette maman de 48 ans confie qu’elle aime bien son travail. «Il n’y a pas vraiment de pression et les heures de travail sont flexibles. Non, jamais je ne me suis sentie intimidée. J’apprends beaucoup de choses tous les jours.» Notre interlocutrice laisse entendre qu’elle gagne bien sa vie grâce à ce métier.

Iris Darbon: à sa place

Iris Darbon, ancienne employée d’une usine textile, travaille depuis six mois dans le garage son frère. Du haut de ses 52 ans, elle a appris la tôlerie et la réparation, l’entretien et la maintenance des carrosseries. «Ce n’est pas difficile. Il suffit d’en connaître les bases. Nous apprenons de nouvelles choses tous les jours. Les femmes ont leur place dans les garages.»


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