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Divorce à l’amiable à Buckingham Palace. La reine Elizabeth II et la famille royale britannique se sont accordées, lundi 13 janvier, sur une « période de transition » permettant au prince Harry et à son épouse Meghan Markle de se mettre en retrait, comme ils le souhaitent. Pendant cette période, ils vivront « au Canada et au Royaume-Uni ».
Dans un communiqué, la reine explique « soutenir pleinement » le choix de son petit-fils et de son épouse, même si elle et sa famille « auraient préféré qu’ils continuent à travailler à plein temps pour la famille royale ».
Elle demande que les décisions finales soient trouvées « dans les jours qui viennent », soulignant qu’il restait « du travail à accomplir » sur ces questions « complexes ». Une des préoccupations concerne l’argent et la rémunération du couple puisque, comme le souligne le communiqué de Buckingham, « Harry et Meghan ont clairement indiqué qu’ils ne veulent pas dépendre de fonds publics dans leur nouvelle vie ».
Le « Megxit » a pris la monarchie de court
Harry a rencontré la reine Elizabeth II ce lundi à Sandringham, dans l’est de l’Angleterre, réunion à laquelle participait également son frère, William, et son père, Charles.
Annoncé mercredi, le « Megxit », comme l’a surnommé la presse britannique, a pris de court la monarchie, dont les principaux membres n’avaient pas été consultés. Elizabeth II avait alors demandé à sa famille de trouver rapidement une solution.
L’épisode a ravivé le souvenir de l’abdication, en 1936, du roi Edouard VIII pour épouser Wallis Simpson, une Américaine divorcée – comme Meghan. Il avait fini sa vie en exil à Paris.
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