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Nommé en 2016, Youssef Chahed, le chef du gouvernement tunisien, se maintient à son poste contre vents et marées. Et se prépare à briguer la magistrature suprême en novembre.
«Le couple tuniso-français se porte bien en ce jour de la Saint-Valentin ! » En conférence de presse conjointe, à Matignon, le 14 février, Youssef Chahed ose ce trait d’humour, faisant glousser l’assistance. Mais le chef du gouvernement tunisien n’affiche qu’un sourire en coin. L’enjeu ? Le doublement des investissements directs français en Tunisie d’ici à 2022. En général pince-sans-rire, Chahed plaisante avec une retenue de circonstance. Ses saillies font penser – le mordant en moins – à celles du président Béji Caïd Essebsi (BCE), réputé pour son éloquence.
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