National Security Service : des agents mécontents de leur mutation

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La cellule de communication de la police, aux Casernes centrales, explique que les policiers doivent respecter la confidentialité.

La cellule de communication de la police, aux Casernes centrales, explique que les policiers doivent respecter la confidentialité.

«Sak kou transfer sorti, fini koné ki éna dimounn NSS pou bouzé. Mé ki ariv sa bann dosier lor ki nou pé travay la. Enn lot dimounn vini, répran tou a zero.» Ce sont les propos d’un policier, affecté au National Security Service (NSS), mais qui a récemment reçu sa lettre de mutation dans une autre unité de la police. Comme lui, dix autres agents ont reçu leur lettre de transfert. 15 autres devraient, eux, rejoindre le département des services secrets.

Ces nouvelles affectations ne cessent de faire des mécontentements depuis la distribution des lettres de transfert. Même si on parle d’exercice normal, certains ont du mal à accepter ce changement drastique. Un policier, qui a effectué une bonne partie de sa carrière au sein du NSS, soutient que ce n’est pas «normal» qu’il y ait des mutations à chaque fois dans cette unité.

D’autre part, un officier nous explique que selon la Police Act, le transfert d’agents est un exercice normal. Et d’ajouter que toutes les informations qui sont compilées par les agents du NSS sont insérées sur le système et que ces transferts ne mettent aucunement les informations recueillies par d’autres policiers en péril.

«Du moment qu’une personne rejoint la police, elle doit signer une clause de confidentialité et n’a pas le droit de divulguer d’informations», souligne la cellule de communication de la police.


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