Accident à Lower Vale en 2014 – Un sergent : «L’alcootest sur le médecin s’était avéré positif»

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Le procès intenté au médecin Sandeep Prayag s’est poursuivi, le jeudi 9 janvier 2020, devant la cour intermédiaire. Il est traduit en justice pour avoir causé mort d’homme alors qu’il était sous l’influence de l’alcool. Un accident qui remonte à janvier 2014.  

Lors de l’audience du jeudi 9 janvier 2020, le sergent de police Rausmally a souligné que l’exercice d’alcootest effectué sur le médecin par des membres de l’Emergency Response Service (ERS) s’était avéré positif. 

Sandeep Prayag, âgé de 38 ans, médecin de profession, domiciliant à Rivière-du-Rempart, fait objet d’une accusation de « causing death by careless driving when under the influence of intoxicating drink ». Il plaide non coupable et est défendu par Me Gavin Glover, Senior Counsel assisté par Me Ludovic Balancy. La poursuite est représentée par Me Rubesh Dawoodarry, State Counsel. Le procès est présidé par le magistrat Raj Seebaluck. 

Selon l’acte d’accusation, le médecin aurait percuté Poobarlen Pakireepillay, un habitant de Mapou, âgé de 24 ans. Ce dernier était à moto et est mort sur le coup. Le drame était survenu le 12 janvier 2014 à Lower Vale. La police reproche au médecin d’avoir eu un taux élevé d’alcoolémie dans le sang, soit 105 milligrammes d’alcool dans 100 millilitres de sang.

Traitement à la clinique

Lors de l’audience du jeudi 9 janvier 2020, trois témoins ont été appelés à déposer. Il s’agit du médecin légiste, le Dr Prem Chamane, le sergent de police Rausmally, affecté au poste de police de Plaine-des-Papayes et l’oncle de la victime. Le sergent de police est l’un des policiers qui est arrivé sur le lieu de l’accident à Lower Vale. Interrogé par Me Rubesh Dawoodarry, le policier a déclaré qu’à son arrivée il y avait déjà une foule qui s’était amassée sur le lieu. Il soutient avoir vu une personne gisant inconsciente sur l’asphalte un peu plus loin. Celle-ci portait des blessures aux parties intimes et sur d’autres parties de son corps. 

D’autre part, le sergent ajoute qu’il a aussi vu une motocyclette en flammes sur l’asphalte à quelques mètres de la victime aussi bien qu’une voiture. Toutefois, l’officier dit n’avoir vu aucun chauffeur dans le véhicule. Il affirme que c’est un chef inspecteur qui est venu l’informer peu après que le chauffeur était à la clinique de Grand-Baie. Le sergent de police dit avoir demandé à ses collègues de l’Emergency Response Service (ERS) d’effectuer un alcootest sur le chauffeur de la voiture qui n’est autre que le médecin. 

À une autre question de la poursuite, le témoin devait affirmer que l’alcootest s’était avéré positif. 

La défense a, quant à elle, voulu savoir si la police avait fait une requête auprès du Forensic Science Laboratory (FSL) pour faire un examen de la moto. Question à laquelle le sergent a souligné qu’il n’est pas l’enquêteur principal dans cette affaire.  

Le procès a été renvoyé au 18 mars 2020.

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Defi Media

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