Le Maroc interdit les cryptomonnaies, mais soutient les blockchains professionnelles ou institutionnelles – JeuneAfrique.com

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Si le bitcoin n’est pas le bienvenu au Maroc, les autorités redoublent en revanche d’efforts pour y faire une place aux projets de blockchains à usage professionnel, sous l’impulsion des entreprises marocaines ou françaises qui y voient des opportunités, ou à usage institutionnel, l’État réfléchissant à sa propre modernisation.


Le 18 décembre, la banque BMCE Bank of Africa et l’Association marocaine des exportateurs (Asmex) ont organisé une conférence à Casablanca pour promouvoir les « applications possibles pour le commerce extérieur au Maroc » de la technologie blockchain.

Cette « chaîne de blocs » (littéralement) fonctionnant comme un registre distribué (décentralisé) intéresse tout particulièrement le secteur de la logistique, où les contraintes administratives et relatives à la traçabilité sont une préoccupation que la blockchain se propose, à terme, de simplifier. La cryptomonnaie est l’une des applications de ces registres distribués.

Un mois plus tôt, c’était la Banque centrale elle-même, Bank Al-Maghrib (BAM), qui co-organisait la deuxième édition de l’Africa Blockchain Summit, à Rabat, et ce conjointement avec Paris Europlace (association de professionnels français de la finance, en charge de « promouvoir et développer la Place financière de Paris »), sous le thème de l’inclusion financière. Deux sociétés technologiques étaient partenaires : la fintech française HBS, spécialisée dans les technologies de paiement, et Talan, société de services du numérique française.

L’événement consistait en un concours de start-up travaillant sur des solutions innovantes en matière d’inclusion financière, de financement des très petites entreprises ou de renforcement de l’éducation financière.

Mettre la blockchain au service de l’inclusion financière



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JeuneAfrique

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