Ouverts les 1er et 2 janvier: les boutiques essaient de se rattraper

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Shelby Figaro, fleuriste à la rue Bourbon, affiche l’optimisme, même si elle a dû ouvrir boutique un 1er janvier.

Shelby Figaro, fleuriste à la rue Bourbon, affiche l’optimisme, même si elle a dû ouvrir boutique un 1er janvier.

Après deux jours cycloniques, les commerces misent le tour pour le tout. Déjà hier, ils étaient plusieurs à avoir ouvert leurs portes, ne voulant pas perdre une journée de vente. Aujourd’hui 2 janvier également. Alors que généralement, début janvier plusieurs ferment boutiques après avoir bien travaillé avec les late-night shopping et autres en fin d’année.

Eman Deen, propriétaire d’un magasin de vêtements, fait ressortir qu’il n’a pas l’habitude de travailler le premier jour de l’an. «En raison du mauvais temps ces derniers jours, on est obligé de se rattraper. Nous pensions faire de bonnes affaires durant le week-end précédent mais ce cyclone a tout chamboulé.» 

Il a d’ailleurs ouvert son magasin mardi après-midi après la levée de l’alerte cyclonique pour accueillir des clients. Néanmoins, il est pratiquement impossible de renflouer les caisses après les pertes de ces derniers jours.

A Terre-Rouge ou encore Arsenal, les petites boutiques restent ouvertes même ce 2 janvier. Mais la clientèle ne suit pas toujours. 

Parween Bolaky, vendeuse de vêtements pour femmes, avoue pour sa part qu’avec le passage de Calvinia, son business «a coulé». «Il est déjà difficile pour moi de travailler aisément. Ce cyclone a enfoncé le clou.» C’est pour cela qu’elle a ouvert son magasin pour des clientes qui souhaiteraient faire des achats de dernière minute. «Mais je ne pense pas pouvoir combler les pertes faites durant ces deux jours de cyclone.»

Chez Mico Shop, les pétards et feux d’artifice sont toujours sur les étagères. En raison de l’alerte 3 durant le passage de Calvinia, le propriétaire n’a pu vendre toutes ses marchandises. Mais il ne désespère pas. «Le Nouvel An chinois approche bientôt, nos pétards se vendront comme des petits pains», assure-t-il. «Bientôt nous mettrons en vente des manuels scolaires et le business reprendra de plus bel.»

Shelby Figaro, fleuriste à la rue Bourbon, relate que pour un 1er  janvier, les affaires ne sont pas si mauvaises. «Les gens s’arrêtent pour acheter des bouquets pour décorer leur intérieur ou pour aller les déposer au cimetière.» Hélas, ces derniers jours, elle n’a pas effectué le nombre de ventes qu’elle désirait. «C’est déjà difficile car nous sommes à plusieurs fleuristes dans cette rue», fait-elle remarquer.


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