enquête sur un divorce à l’ivoirienne – JeuneAfrique.com

0
397

[ad_1]


L’ex-couple présidentiel au stade Félix-Houphouët-Boigny, à Abidjan,le 1er avril 2009. © Luc Gnago/REUTERS


Ensemble, Laurent et Simone Gbagbo ont affronté bien des épreuves. Si leur couple est mort depuis longtemps, c’est leur connivence politique qui désormais bat de l’aile. Mais peuvent-ils vraiment rompre définitivement ? Enquête.


Ce jeudi 28 février, sous l’auvent de sa résidence de la Riviera, à Abidjan, Simone Gbagbo se présente devant les membres du secrétariat exécutif du Front populaire ivoirien (FPI) dans des habits de femme blessée. Depuis quelques jours, un article d’un site internet ivoirien alimente la rumeur : son mari, l’ancien président Laurent Gbagbo, fraîchement libéré par la Cour pénale internationale (CPI), lui aurait officiellement notifié son désir de divorcer.

L’ex-première dame a toute de suite imposé à son cabinet de démentir l’information et a demandé à la communication du FPI de relayer sa réponse. Elle est passablement énervée par ces attaques, dont elle estime être la cible depuis quelques semaines.

Vous êtes à présent connecté(e) à votre compte Jeune Afrique, mais vous n’êtes pas abonné(e) à Jeune Afrique Digital

Cet article est réservé aux abonnés


Abonnez-vous à partir de 7,99€pour accéder à tous les articles en illimité

Déjà abonné ?

Besoin d’aide

Vos avantages abonné

  1. 1. Accèdez en illimité à l’ensemble des articles sur le site et l’application Jeuneafrique.com (iOs & Android)
  2. 2. Bénéficiez en avant première, 24 heures avant leur parution, de chaque numéro et hors séries Jeune Afrique sur l’application Jeune Afrique Le Magazine (iOS & Android)
  3. 3. Recevez la newsletter économie quotidienne réservée aux abonnés
  4. 4. Profitez de 2 ans d’archives de Jeune Afrique en édition numérique
  5. 5. Abonnement sans engagement de durée avec l’offre mensuelle tacitement renouvelable*

*Service uniquement disponible pour les abonnements à durée libre.






[ad_2]

Source link

JeuneAfrique

Have something to say? Leave a comment: