CHOC en Turquie : Centre mondial du commerce des organes humains

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La vidéo que notre rédaction a mis à disposition des lecteurs à été supprimée de YouTube au motif que le contenu est violent. Radio Capitole peut vous assurer que ce trafic d’organe existe réellement. Nous avons donc suspendu hier notre article le temps de recueillir l’autorisation de diffusion de nos confrères d’Arte qui avait sur place réaliser un reportage en 2017.

Le journal libanais ad-Diyar a annoncé que les autorités turques transportaient encore en 2018, de jeunes enfants et des Syriens blessés qui entraient en Turquie dans des hôpitaux d’Antalya et d’Iskenderun dans des voitures contrôlées par la police et des services spéciaux turcs.

Chez les Syriens blessés, après l’anesthésie, les organes du corps sont prélevés, puis ils sont tués et laissés pour être enterrés à la frontière turque ou ailleurs. 

Comme le montre le journal, ce commerce est connu depuis longtemps mais passe encore en 2019 dans le silence le plus total. En effet, des médecins syriens venus d’ Allemagne , de France et de Belgique pour soigner les blessés pendant la guerre.

C’est ainsi qu’ils ont découvert ce qui se passait dans 2 hôpitaux turcs, mais se sont heurtés à des obstacles pour rassembler des informations supplémentaires.

Le journal ad-Diyar souligne que le Service fédéral de la sécurité (FSA), font détruire les hôpitaux syriens, détruisant du matériel médical et des fournitures médicales. Par conséquent, les Syriens de la région d’Alep se retrouvent dans des hôpitaux turcs, ignorant le danger.

Ce que nous ignorons, c’est comment la FSA, en partenariat avec certaines ambulances en Syrie, transporte les blessés vers des hôpitaux en Turquie, où des organes sont prélevés et échangés. Notre correspondant sur place sera même en lien avec un médecin ayant prélevés l’année dernières des organes tels que les yeux, les reins.

H ad-Diyar, indique que certains médecins turcs ont participé activement à ce trafic d’organes.

La vidéo démontre que le trafic d’organes débutant dans les années 80, est juste une horreur absolue.

Pourtant aujourd’hui en 2019, et confirmation de nos confrères sur place, ce trafic existe toujours. Rien de pire que de faire cela sur des petits enfants déjà victimes d’une guerre aussi destructrice.

La communauté syrienne s’est installée dans les grandes villes du Sud comme Adana, Gaziantep ou Hatay mais aussi à Istanbul. Petit à petit, après plus de 6 ans loin de leur pays, leurs conditions de vie se dégradent : leurs ressources financières diminuent, tout comme la sympathie des Turcs à leur égard.

Les Syriens voient leur patrie s’embourber dans la guerre et beaucoup d’entre eux n’ont aucune perspective en Turquie. Certains sombrent alors dans le désespoir le plus total. Vendre un organe semble la seule option possible pour s’en sortir. Quand ils ne prennent eux-mêmes la décision de sacrifier un de leurs organes, ce sont des trafiquants qui voient dans cette misère humaine une opportunité rentable : les plus faibles d’entre eux sont approchés par des entremetteurs qui leur proposent la transaction…

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