Elia Suleiman, le Tati palestinien – JeuneAfrique.com

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Avec « It Must Be Heaven », délicatement absurde, le réalisateur Elia Suleiman montre qu’il est possible de traiter des sujets les plus graves avec humour et légèreté.


« C’est un réalisateur palestinien, mais ses films sont drôles » : voici ce que déclare, dans un bureau new-yorkais, un homme (Gael García Bernal, jouant son propre rôle) pour présenter à une productrice le cinéaste qui l’accompagne, un certain E.S., à la recherche d’un financement pour son prochain film.

Comme s’il était à coup sûr impossible d’être à la fois palestinien, donc condamné à souffrir du terrible sort réservé à sa terre natale, et drôle. Eh bien, Elia Suleiman, puisqu’il s’agit bien sûr de lui, démontre une nouvelle fois, avec It Must Be Heaven, que c’est tout à fait possible. Et que c’est même l’essence de son cinéma : apparaître à l’écran à la fois on ne peut plus palestinien et on ne peut plus drôle.



Burlesque

On attendait depuis dix ans un nouveau long-métrage du plus connu et du plus talentueux des cinéastes palestiniens et on n’est pas déçu. Le scénario du film



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JeuneAfrique

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