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Depuis le référendum de mai 2018, Pierre Nkurunziza a multiplié les signaux contradictoires.
De nombreuses ONG ont été contraintes de quitter le pays pour avoir refusé de se conformer aux nouvelles dispositions de la Constitution sur les quotas ethniques. Le Bureau des droits de l’homme de l’ONU a été sommé de fermer ses portes, et le président burundais est sous la menace de la commission d’enquête de l’ONU.
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